Drôle de novembre décembre où j'ai délaissé mon genre de prédilection : le genre imaginaire. Peut-être par lassitude et aussi parce que la fantasy m'a gavé...
Ce bimestre : une incursion en polarie
Commençons avec PREDATEURS DE CHATTAM qui est l'un des maillons de son cycle de la vérité (avec le très bon la théorie Gaïa et le moins convainquant à mon avis Les Arcanes du Chaos.)
L'histoire, un conflit qui ne sera jamais nommé, un tueur qui met en scène ses exécutions et un flic de la Police Militaire bien décidé à l'arrêter jusque sur le champ de bataille. Dans l'enfer des tranchées, de la mitraille, l'enquête se déroule entre meurtres sauvages, manipulations, fausses pistes... Exécutions des enquêteurs par un tueur retors qui sait que dans l'armée on est frères d'armes avant tout. Un tueur qui sait que l'on peut compter sur la proximité avec les autres.
C'est emporté, mais j'ai eu du mal à rentrer dans cet univers où le conflit n'est pas nommé (je sais c'est du détail, la guerre est la guerre, mais là ça m'a un peu bloqué). Les premiers meurtres sont mis en scène de manière cinématographique et l'on retrouve le Maxime Chattam de la trilogie du Mal puis l'on voit arriver quelques revirements... Jusqu'au dénouement avec un tueur un brin philosophe qui m'a agacé... Un peu mitigé sur ce roman.
Vient ensuite HARPICIDE de Michel Vigneron que j'aurais peut être eu comme collègue si j'avais réussi le concours de la Police. :-)
Alors là, nous entrons dans le premier tome de la série l'Embaumeur initié par l'Atelier Mosesu. Après un passage par la Légion, Luc Mandoline est devenu Thanatopracteur, il officie aux quatre coins du monde car il déteste s'installer. Dans ce premier opus, il se rend en Guyane pour enquêter sur la mort d'un frère d'arme. Disons le d'emblée, le ton est posé. Mandoline est un type efficace dans tous les sens du terme, il ne s'embarrasse pas de morale. Le langage est cru parfois, la réalité dépeinte l'est tout autant et elle est terrifiante, certaines scènes sont hyper hard. Vigneron qui bosse en Guyane nous dépeint un nouveau far west pillé par des Brésiliens exploités par des types sans foi ni loi, un far west où les populations locales sont empoisonnées par les orpailleurs illégaux à coup de substances rejetées dans les nappes phréatiques, un morceau de France sur laquelle la France n'a guère de prise et dont elle paraît se fiche alors qu'il s'agit d'un paradis écologique... Aidé de son frère d'arme Sullivan et flanqué d'Elisa, sa meilleure amie, Luc Mandoline va s'enfoncer dans l'enfer vert, cette jungle qui bouffe les corps. On sent le poisseux, on sent la sueur, mais on ne sort pas indemne de cette lecture. Il a placé haut la barre le père Vigneron, j'ai intérêt à bosser commun un malade sur mon opus... Sans flagornerie aucune, disons le clairement HARPICIDE VAUT LE DETOUR. J'ai même envie de dire qu'il est trop court. Hâte de lire les prochains tomes. Mandoline un héros récurrent à découvrir absolument !
DERNIER ROMAN LU : VERJAT et l'Affaire JC DE Valéry G. Coquant aux Editions Saint Martin.
Pareil une lecture qui file entre les pattes.
JC était un éditeur qui osait attaquer le politiquement correct. Bon évidemment, lorsqu'on le retrouve le crâne fracassé, les pistes ne manquent pas. Verjat est un flic devenu pragmatique avec le temps, un flic qui ne s'illusionne plus sur le monde qui l'entoure... Un flic qui sait qu'un fonctionnaire de police peut être plus facilement muté qu'un élu corrompu rejeté du monde politique par ses ouailles (vous y penserez n'est ce pas ?)... Bref Verjat va partir à la pêche aux indices. Et les pistes ne vont pas manquer, d'abord ce type clairement identifié... puis... Valéry G. Coquant est un auteur habile qui nous embringue dans différentes intrigues avec une culture impressionnante, mais aussi et surtout -j'en ai l'impression tout au moins - un homme en colère : cela se sent et il balance. Ras le bol de ces apparences, de ces illusions, du culte de la médiocrité... Le monde de l'édition, des bobos en prend pour son grade et ça fait du bien ! Et que dire des politiques locaux de Tourbaix,dans la proche banlieue de Lille ? On jubile , on savoure, on se délecte. Le temps du roman, on devient Verjat. Je crois que c'est le plus grand compliment que l'on peut faire à Coquant, à Vigneron.
Les gars, l'empathie pour le héros et le regret de poser le livre, rien d'autre ne compte...
Bon boulot.
Des genres de l'imaginaire au policier, ne laissez pas la vilenie et la bassesse du monde vous contaminer, ouvrez votre esprit, votre âme.
Friday, December 28, 2012
INCURSION EN POLAR
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Monday, December 24, 2012
Joyeux Noël
Joyeux Noël à toutes et tous.
Mes amis, mes proches, toi qui tombe sur ce blog.
Toi qui tombe sur ce blog et ne m'apprécie pas.
Joyeux Noël à ceux qui souffrent, à ceux qui sont malades, à ceux qui sont seuls, à ceux qui sont tristes, à ceux que cette période rend morose car elle les renvoie à un sentiment indicible.
Puissent les mois à venir et malgré les sombres perspectives évoquées ici et là permettre de rendre à certains l'espoir. Parce que sans espoir, il n'y a qu'un gouffre.
Puissions nous offrir à chacune, chacun, un travail qui lui permettra de vivre dignement, de se loger, de manger à sa faim. De se sentir à sa place !
Puisse notre société évoluer et prendre en charge ses vieux avec le respect qu'ils méritent, puisse notre société prendre en charge ses jeunes en leur offrant de vrais lendemains et non un avenir incertain fait de valeurs à la C.. (matérialisme, instantanéité, mode, shoote toi tu seras un crack, baise tout ce que tu peux tu seras un lapin...)
Jess
Mes amis, mes proches, toi qui tombe sur ce blog.
Toi qui tombe sur ce blog et ne m'apprécie pas.
Joyeux Noël à ceux qui souffrent, à ceux qui sont malades, à ceux qui sont seuls, à ceux qui sont tristes, à ceux que cette période rend morose car elle les renvoie à un sentiment indicible.
Puissent les mois à venir et malgré les sombres perspectives évoquées ici et là permettre de rendre à certains l'espoir. Parce que sans espoir, il n'y a qu'un gouffre.
Puissions nous offrir à chacune, chacun, un travail qui lui permettra de vivre dignement, de se loger, de manger à sa faim. De se sentir à sa place !
Puisse notre société évoluer et prendre en charge ses vieux avec le respect qu'ils méritent, puisse notre société prendre en charge ses jeunes en leur offrant de vrais lendemains et non un avenir incertain fait de valeurs à la C.. (matérialisme, instantanéité, mode, shoote toi tu seras un crack, baise tout ce que tu peux tu seras un lapin...)
Jess
Sunday, December 16, 2012
Une année de dédicaces....
Hier avait lieu ma dernière dédicace de l'année au Cultura V2, à Villeneuve d'Ascq. Dédicace marathon car elle a duré la journée pour un réel plaisir ! Et de très bonnes ventes ! :-)
Occasion de revenir sur une année exceptionnellement riche en salons, dédicaces, rencontres avec le public...
Depuis septembre, je n'ai pas eu beaucoup de week ends à moi, moins de 4 je crois.
Cette année, après la sortie de Fissures, je suis allé ainsi à Béthune, Calais, Somain, Aniche, Cultura V2 (deux fois), Nieppe, Seclin, Merlieux (dans l'Aisne), Saint Quentin, idem, Epinal, Conches en Ouche (dans l'Eure), Val Joly, Loos, Hallennes Les Haubourdin et j'en oublie certainement...
Là, c'est relâche : plus rien avant le mois de février. Occasion de recharger les accus, de se reposer... D'écrire surtout ! Je dois terminer mon tome de l'embaumeur et préparer la sortie du roman jeunesse à paraître aux Lucioles, le label jeunesse Lokomodo.
Je n'irai pas à Bagneux, ni à Trolls et Legendes.
2012 fut une année riche en salons, en rencontres aussi... Un vrai plaisir de discuter avec des passionnés de fantastique qui n'attendent que cela un recueil de nouvelles... J'ai la chance d'avoir trouvé un éditeur qui va à la rencontre du public.
Voilà, je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année...
Et je commenterai mon actu bientôt;
Amitiés
Jess
et si vous voulez procurer fissures, il y a toujours amazon...
Occasion de revenir sur une année exceptionnellement riche en salons, dédicaces, rencontres avec le public...
Depuis septembre, je n'ai pas eu beaucoup de week ends à moi, moins de 4 je crois.
Cette année, après la sortie de Fissures, je suis allé ainsi à Béthune, Calais, Somain, Aniche, Cultura V2 (deux fois), Nieppe, Seclin, Merlieux (dans l'Aisne), Saint Quentin, idem, Epinal, Conches en Ouche (dans l'Eure), Val Joly, Loos, Hallennes Les Haubourdin et j'en oublie certainement...
Là, c'est relâche : plus rien avant le mois de février. Occasion de recharger les accus, de se reposer... D'écrire surtout ! Je dois terminer mon tome de l'embaumeur et préparer la sortie du roman jeunesse à paraître aux Lucioles, le label jeunesse Lokomodo.
Je n'irai pas à Bagneux, ni à Trolls et Legendes.
2012 fut une année riche en salons, en rencontres aussi... Un vrai plaisir de discuter avec des passionnés de fantastique qui n'attendent que cela un recueil de nouvelles... J'ai la chance d'avoir trouvé un éditeur qui va à la rencontre du public.
Voilà, je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année...
Et je commenterai mon actu bientôt;
Amitiés
Jess
et si vous voulez procurer fissures, il y a toujours amazon...
Sunday, December 09, 2012
Salon de Somain (une semaine après)
La semaine dernière ( 1 et 2 décembre) avait lieu le 3eme salon du livre de Somain.
Un salon particulier me concernant car il s'agissait de mon dernier salon de l'année 2012 avant l'ultime dédicace au Cultura V2 (journée complète du 15/12).
2012 aura été une année très riche en dédicaces, salons etc. De l'Eure (Conche en Ouche) à l'Aisne (Saint Quentin, Merlieux...) en passant par Loos, Hallennes les Haubourdin etc, je me serai beaucoup déplacé pour promouvoir Fissures...
Beaucoup de rencontres avec des lecteurs venant à la source car désireux de découvrir une littérature autre.
Le mot de M le Maire insistant sur la simplicité de l'évènement était sincère. Pas de chichi, pas de numéro pour les auteurs, une relation humaine, le salon est l'occasion de faire venir la culture auprès des habitants.
Le premier prix de la ville fut décerné à Pierre Brulhet et Audrey Françaix Grimbert.
Pour le reste ce salon très bien organisé fut l'occasion de discussions passionnées avec des fans de fantastique, je pense à Marie Edith qui découvrira bientôt l'excellent secret d'endymion spring... A ces gens qui n'aiment pas le fantastique mais qui font l'effort d'essayer...
Le samedi déguisé permit de mettre de l'ambiance, mais il fut à l'origine de la venue du fils caché de Michael Myers d' Halloween... Même si celui ci n'est arrivé que le dimanche
(voici mon déguisement lors du salon)
ARGH on ne me laisse pas dédicacer !!!!
Le salon permit aussi de revoir les ami(e)s.
( elles sont belles hein ! De gauche à droite S Bettencourt auteure d'une ETOILE en enfer, C Vauchel et Catsacha + 1/2)
Valéry Coquant himself !
Quant à mon épouse Catsacha, elle vendit l'intégralité de son stock de Grisemine, le petit chat qui voulait voler, ce qui fait que le livre sera bientôt indisponible. Eh oui, les gros éditeurs qui n'en ont pas voulu, Grisemine a rencontré son public ! NA
Une question posée sur le salon me trotte encore dans la tête
"ne serait-il pas plus intéressant pour toi d'écrire plutôt que de faire des salons ?"
Certes le temps passé sur un salon, je ne le passe pas à écrire, même si j'ai le carnet de notes à portée de main (je ne me vois pas comme certains auteurs prendre un bouquin derrière mon stand ce qui serait irrespectueux pour les organisateurs et les visiteurs. Non je ne balancerai pas de nom.) ou à pianoter sur mon clavier.
D'un autre côté, le salon c'est un lieu de rencontres, d'échanges. J'accepte de faire des kms pour venir y compris dans une petite ville, c'est un risque car je ne suis pas assuré de repartir en ayant vendu mes livres... Mais si je ne me déplace pas, si je compte sur un bouche à oreilles, je peux peut être compter longtemps...
Voilà vous savez tout, vous me verrez encore sur des salons. Et avec de la nouveauté... Après tout la première année où j'ai fait le salon du Polar à Lens, il y avait pas loin de moi un certain Franck Thilliez que les gens considéraient avec un intérêt restreint. L'année suivante, il avait sorti la chambre des morts et là, il y avait affluence devant son stand, y compris pour les ouvrages un peu ignorés les années antérieures... Preuve que le public est souvent orienté...
Au plaisir de vous rencontrer.
Seul achat sur le salon VERJAT ET L AFFAIRE JC DE VALERY COQUANT, editions saint Martin la dernière aventure du commissaire politiquement incorrect.
A l'année prochaine avec créature du miroir ????
Un salon particulier me concernant car il s'agissait de mon dernier salon de l'année 2012 avant l'ultime dédicace au Cultura V2 (journée complète du 15/12).
2012 aura été une année très riche en dédicaces, salons etc. De l'Eure (Conche en Ouche) à l'Aisne (Saint Quentin, Merlieux...) en passant par Loos, Hallennes les Haubourdin etc, je me serai beaucoup déplacé pour promouvoir Fissures...
Beaucoup de rencontres avec des lecteurs venant à la source car désireux de découvrir une littérature autre.
Le mot de M le Maire insistant sur la simplicité de l'évènement était sincère. Pas de chichi, pas de numéro pour les auteurs, une relation humaine, le salon est l'occasion de faire venir la culture auprès des habitants.
Le premier prix de la ville fut décerné à Pierre Brulhet et Audrey Françaix Grimbert.
Pour le reste ce salon très bien organisé fut l'occasion de discussions passionnées avec des fans de fantastique, je pense à Marie Edith qui découvrira bientôt l'excellent secret d'endymion spring... A ces gens qui n'aiment pas le fantastique mais qui font l'effort d'essayer...
Le samedi déguisé permit de mettre de l'ambiance, mais il fut à l'origine de la venue du fils caché de Michael Myers d' Halloween... Même si celui ci n'est arrivé que le dimanche
(voici mon déguisement lors du salon)
ARGH on ne me laisse pas dédicacer !!!!
Le salon permit aussi de revoir les ami(e)s.
( elles sont belles hein ! De gauche à droite S Bettencourt auteure d'une ETOILE en enfer, C Vauchel et Catsacha + 1/2)
Valéry Coquant himself !
Quant à mon épouse Catsacha, elle vendit l'intégralité de son stock de Grisemine, le petit chat qui voulait voler, ce qui fait que le livre sera bientôt indisponible. Eh oui, les gros éditeurs qui n'en ont pas voulu, Grisemine a rencontré son public ! NA
Une question posée sur le salon me trotte encore dans la tête
"ne serait-il pas plus intéressant pour toi d'écrire plutôt que de faire des salons ?"
Certes le temps passé sur un salon, je ne le passe pas à écrire, même si j'ai le carnet de notes à portée de main (je ne me vois pas comme certains auteurs prendre un bouquin derrière mon stand ce qui serait irrespectueux pour les organisateurs et les visiteurs. Non je ne balancerai pas de nom.) ou à pianoter sur mon clavier.
D'un autre côté, le salon c'est un lieu de rencontres, d'échanges. J'accepte de faire des kms pour venir y compris dans une petite ville, c'est un risque car je ne suis pas assuré de repartir en ayant vendu mes livres... Mais si je ne me déplace pas, si je compte sur un bouche à oreilles, je peux peut être compter longtemps...
Voilà vous savez tout, vous me verrez encore sur des salons. Et avec de la nouveauté... Après tout la première année où j'ai fait le salon du Polar à Lens, il y avait pas loin de moi un certain Franck Thilliez que les gens considéraient avec un intérêt restreint. L'année suivante, il avait sorti la chambre des morts et là, il y avait affluence devant son stand, y compris pour les ouvrages un peu ignorés les années antérieures... Preuve que le public est souvent orienté...
Au plaisir de vous rencontrer.
Seul achat sur le salon VERJAT ET L AFFAIRE JC DE VALERY COQUANT, editions saint Martin la dernière aventure du commissaire politiquement incorrect.
A l'année prochaine avec créature du miroir ????
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Saturday, December 08, 2012
Un samedi, une horde
Ecrire n'est pas un acte anodin, c'est donner vie et corps à ses espoirs, ses peurs aussi.
Un samedi, une horde est né de l'envie d'écrire un texte d'horreur plausible.
L'horreur plausible : qu'est-ce donc ?
C'est cette horreur qui naît au bout de la rue, qui vous fait perdre vos repères et vous confronte à vous-mêmes. Cette horreur qui ne vous laisse pas spectateur, mais vous immerge avec la trouille au ventre. Ici tout se passe un samedi, un jour de course.
D'abord publié dans le nzine de nanaz prod après débat intensif au sein du comité de lecture, ce texte est vraiment dérangeant, suscite des questionnements personnels.
Avec les éditions saint Martin, j'ai décidé de l'offrir (moins de 1 euro) en version numérique.
Vous voulez en savoir plus, alors ça se passe par là !
Sortirez vous indemnes de cette lecture ?
Un samedi, une horde est né de l'envie d'écrire un texte d'horreur plausible.
L'horreur plausible : qu'est-ce donc ?
C'est cette horreur qui naît au bout de la rue, qui vous fait perdre vos repères et vous confronte à vous-mêmes. Cette horreur qui ne vous laisse pas spectateur, mais vous immerge avec la trouille au ventre. Ici tout se passe un samedi, un jour de course.
D'abord publié dans le nzine de nanaz prod après débat intensif au sein du comité de lecture, ce texte est vraiment dérangeant, suscite des questionnements personnels.
Avec les éditions saint Martin, j'ai décidé de l'offrir (moins de 1 euro) en version numérique.
Vous voulez en savoir plus, alors ça se passe par là !
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Wednesday, December 05, 2012
Idées cadeau Saint Nicolas
demain saint nicolas, quelques idées cadeau
pour les plus jeunes
Pour les 6 / 8 ans
Polly l'emporte toujours contre le loup, c'est écrit simplement, ça plaît beaucoup ces contes revisités
la bd de Sonic, mon fils adore le hérisson ; il la lit et relit...
les mangas ça plait souvent
en plus y a pas trop d'écriture !!!
Pour les 12 ans et plus
excellent bouquin que cet endymion spring, une histoire moderne à mille bornes de l'élu harry potter
Pour les grands ados
de la fantasy tres prenante et originale
pour les plus jeunes
Pour les 6 / 8 ans
Polly l'emporte toujours contre le loup, c'est écrit simplement, ça plaît beaucoup ces contes revisités
la bd de Sonic, mon fils adore le hérisson ; il la lit et relit...
les mangas ça plait souvent
en plus y a pas trop d'écriture !!!
Pour les 12 ans et plus
excellent bouquin que cet endymion spring, une histoire moderne à mille bornes de l'élu harry potter
Pour les grands ados
de la fantasy tres prenante et originale
Wednesday, November 21, 2012
Le roman jeunesse
385 000 signes, c'est le poids de mon dernier opus qui sortira en avril.
9eme version pour ce roman auquel je tiens, un roman sur le fait de grandir, sur la veulerie du monde adulte et aussi sur la difficulté à être ado de nos jours.
Dans cette époque d'incertitude, j'ai voulu écrire un roman qui ne mettrait pas en scène des élus mais des gamins ordinaires vivant en Province, des gamins qui savent que la réalité, c'est le pire des rêves.
Le cheminement ne fut pas facile, mais le retravail encore et encore, le soutien de mes proches m'ont aidé.
MERCI
Voilà, reste à attendre la couv', la parution.
9eme version pour ce roman auquel je tiens, un roman sur le fait de grandir, sur la veulerie du monde adulte et aussi sur la difficulté à être ado de nos jours.
Dans cette époque d'incertitude, j'ai voulu écrire un roman qui ne mettrait pas en scène des élus mais des gamins ordinaires vivant en Province, des gamins qui savent que la réalité, c'est le pire des rêves.
Le cheminement ne fut pas facile, mais le retravail encore et encore, le soutien de mes proches m'ont aidé.
MERCI
Voilà, reste à attendre la couv', la parution.
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Sunday, November 11, 2012
GREEN WAR J-M Ligny
La France dans un futur proche, une société à deux vitesses, polluée, sur le déclin... Entre quartiers où l'on survit tant bien que mal et des enclaves sécurisées... Malik un beur rebelle voit son père trimer et mourir dans l'accident de son usine. Il décide de le venger, mais se retrouve bientôt embrigadé dans un groupe d'écoterroristes...
Avec d'autres jeunes tout aussi paumés, il va tenter de changer la société...
Dans Green War, Jean Marc Ligny nous livre un futur plus que plausible. Celui où les inégalités se sont accrues, il nous montre la violence crue sans complaisance. Camps de clandestins où la loi ne s'applique plus, gamine tabassée par son père, jeune homme rebelle qui traficote faute de mieux, boxeur shooté et toujours à sec, quartiers laissés à la dérive où l'on se replie.
Puis vient l'heure de la constitution de la bande d'écoterroristes tous issus de minorités, des gosses paumés, encore idéalistes qui bossent sous la férule d'un aristocrate portant un nom bien français, mais qui semble dissimuler de sombres secrets. Hormis ce reproche d'un certain manichéisme, Ligny nous montre une société bien actuelle dont certains politiciens feraient bien de prendre connaissance...
Style vif, incisif, sans fioritures, à l'exception d'une histoire de sexe pas vraiment utile, c'est très bien écrit, c'est du très bon polar qui ne se lâche pas jusqu'à un dénouement vraiment surprenant.
Un très bon bouquin.
Avec d'autres jeunes tout aussi paumés, il va tenter de changer la société...
Dans Green War, Jean Marc Ligny nous livre un futur plus que plausible. Celui où les inégalités se sont accrues, il nous montre la violence crue sans complaisance. Camps de clandestins où la loi ne s'applique plus, gamine tabassée par son père, jeune homme rebelle qui traficote faute de mieux, boxeur shooté et toujours à sec, quartiers laissés à la dérive où l'on se replie.
Puis vient l'heure de la constitution de la bande d'écoterroristes tous issus de minorités, des gosses paumés, encore idéalistes qui bossent sous la férule d'un aristocrate portant un nom bien français, mais qui semble dissimuler de sombres secrets. Hormis ce reproche d'un certain manichéisme, Ligny nous montre une société bien actuelle dont certains politiciens feraient bien de prendre connaissance...
Style vif, incisif, sans fioritures, à l'exception d'une histoire de sexe pas vraiment utile, c'est très bien écrit, c'est du très bon polar qui ne se lâche pas jusqu'à un dénouement vraiment surprenant.
Un très bon bouquin.
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Thursday, November 01, 2012
Fissures numérique
Fissures est actuellement à 2,99 euros en numérique sur amazon...
Si vous avez une liseuse, c'est l'occasion de vous faire plaisir !
Si vous avez une liseuse, c'est l'occasion de vous faire plaisir !
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Monday, October 29, 2012
TED
Il était une fois un petit garçon mal dans sa peau... Un jour, il fit pour voeu que son ours en peluche devienne vivant et quelqu'un l'entendit....
Le petit garçon a grandi, il a 35 ans, vit avec un canon, mais l'ours est toujours là... Shooté, grossier.
Voici en deux lignes un résumé de Ted, film plutôt encensé par la critique....
Si au début, on s'amuse de ce détournement du cliché du nounours sympathique par un gros vulgaire, on ressent très vite des moments mous dans le film. Des passages à vides entrecoupés de bonnes répliques, de bonnes scènes notamment les allusions à Flash gordon, la série des années 80.... Puis la vulgarité -hauteur pet, sexe - tend à faire figure d'humour et c'est bien dommage. Parce qu'il y a matière à animer cet ours et à réaliser une vraie comédie.
C'est tellement cool la came
Pendant tout le film ou presque, on va voir un ours shooté à l'herbe, à la coke... Parce qu'il faut forcément de la drogue pour être drôle. parce que la cocaïne aussi c'est magique... OUAIS... Je n'adhère pas à ce discours débile !
Parce que la drogue masque la vacuité...
L'idée de départ est sympa, malheureusement Ted ne décolle pas vraiment. On est loin du film encensé par la critique. C'est une comédie pour ados, un peu grasse... Très prévisible dans son déroulement.
On se marre quelquefois, mais pas autant qu'on l'aurait pu si les scénaristes avaient daigné monter un peu plus haut que les effluves d'un pet.
Donc en résumé, un film qui pourra être vu à la télé... Mais pas un chef d'oeuvre d'humour.
Le petit garçon a grandi, il a 35 ans, vit avec un canon, mais l'ours est toujours là... Shooté, grossier.
Voici en deux lignes un résumé de Ted, film plutôt encensé par la critique....
Si au début, on s'amuse de ce détournement du cliché du nounours sympathique par un gros vulgaire, on ressent très vite des moments mous dans le film. Des passages à vides entrecoupés de bonnes répliques, de bonnes scènes notamment les allusions à Flash gordon, la série des années 80.... Puis la vulgarité -hauteur pet, sexe - tend à faire figure d'humour et c'est bien dommage. Parce qu'il y a matière à animer cet ours et à réaliser une vraie comédie.
C'est tellement cool la came
Pendant tout le film ou presque, on va voir un ours shooté à l'herbe, à la coke... Parce qu'il faut forcément de la drogue pour être drôle. parce que la cocaïne aussi c'est magique... OUAIS... Je n'adhère pas à ce discours débile !
Parce que la drogue masque la vacuité...
L'idée de départ est sympa, malheureusement Ted ne décolle pas vraiment. On est loin du film encensé par la critique. C'est une comédie pour ados, un peu grasse... Très prévisible dans son déroulement.
On se marre quelquefois, mais pas autant qu'on l'aurait pu si les scénaristes avaient daigné monter un peu plus haut que les effluves d'un pet.
Donc en résumé, un film qui pourra être vu à la télé... Mais pas un chef d'oeuvre d'humour.
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Sunday, October 28, 2012
gorenight 9 à Dunkerque
Hier soir avait lieu la 9eme gorenight dunkerquoise organisée par l'assos NANAZPROD
Au sommaire, courts métrages, concert DU GROUPE NUIT, long métrage, théâtre du bizarre pour.... 6 EUROS !!!!
Disons le d'emblée, en y allant, je m'attendais à voir des courts métrages réalisés avec les moyens du bord.
Eh bien non, je suis resté sur mon séant devant certains des courts présentés qui n'ont rien à envier à des téléfilms largement subventionnés.
Des scénars efficaces (Tous les Hommes s'appellent Robert, Postaction, un bon plan) , des acteurs convaincants (Zombie Run, post action), des effets recherchés (pandorama), une envie d'offrir un bon film (Valentine), du délire (gangsta kamikaze)
BREF LA GORE NIGHT C'était très bien !
Nanaz prod a sorti à l'occasion un fanzine où je figure avec un texte d'horreur plausible en compagnie de seize autres auteurs mais aussi des itvs...
C'est une belle maquette, un bel objet
ON LE COMMANDE SUR http://nanazprod.free.fr
L'an prochain, venez remplir la salle du studio 43, une ex salle de l'amc... Vous passerez un très moment !
Au sommaire, courts métrages, concert DU GROUPE NUIT, long métrage, théâtre du bizarre pour.... 6 EUROS !!!!
Disons le d'emblée, en y allant, je m'attendais à voir des courts métrages réalisés avec les moyens du bord.
Eh bien non, je suis resté sur mon séant devant certains des courts présentés qui n'ont rien à envier à des téléfilms largement subventionnés.
Des scénars efficaces (Tous les Hommes s'appellent Robert, Postaction, un bon plan) , des acteurs convaincants (Zombie Run, post action), des effets recherchés (pandorama), une envie d'offrir un bon film (Valentine), du délire (gangsta kamikaze)
BREF LA GORE NIGHT C'était très bien !
Nanaz prod a sorti à l'occasion un fanzine où je figure avec un texte d'horreur plausible en compagnie de seize autres auteurs mais aussi des itvs...
C'est une belle maquette, un bel objet
ON LE COMMANDE SUR http://nanazprod.free.fr
L'an prochain, venez remplir la salle du studio 43, une ex salle de l'amc... Vous passerez un très moment !
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Saturday, October 27, 2012
""""""Stephen King m'a "gaver" """"""
On ne peut pas tout adorer d'un auteur, c'est ainsi. Un auteur est humain donc faillible, certaines oeuvres trouvent écho en nous, d'autres non...
J'avais redécouvert Stephen King à travers le fabuleux DOME, un ouvrage extraordinaire. Et j'ai enchaîné avec Nuit Noire, étoiles mortes...
Puis Juste avant le crépuscule.
Disons le d'emblée, ce recueil de nouvelles m'a profondément déçu.
J'aime le King fantastique, je suis beaucoup moins fan de celui qui transforme les psychopathes et autres névrosés en monstres modernes. Ou de celui qui fait l'apologie de la vengeance... Alors qu'il est contre la peine de mort... bref ce n'est pas cool de flatter les bas instincts du lecteur...
Les nouvelles
Willa : une histoire de fantômes du déjà lu peu intéressant
La Fille pain d'épice : l'histoire d'une jeune femme qui va devoir échapper à un psychopathe sympa sans plus
Le rêve d'Harvey, une histoire de prémonition longue à se mettre en place
Aire de repos : encore une histoire avec un psychopathe (un mari violent), bof
Vélo d'appart : enfin une histoire avec du fantastique mais c'est assez long à se mettre en place
Laissés pour compte : une nouvelle en phase avec le 11 septembre. Intéressante, fantastique, une des bonnes pioches du recueil.
Fête de diplome : la peur de la bombe A sur les States... très décevant
N : ca se veut lovecraftien, mais ça n'en a pas la saveur
un chat d'enfer : la bonne nouvelle du recueil. Dommage que ce soit une très ancienne de King, c'est jouissif d'un bout à l'autre
le new york times a un prix spécial : une histoire sur le deuil, sur la communication avec l'au delà pas mal
Muet : un type confie ses soucis à un muet, en fait un psychopathe (y'en a beaucoup hein)
Ayana une histoire de guérison, de don qui m'a gavé
un tres petit coin : une histoire de voisins qui ne peuvent pas s'encadrer, ca rappelle la corniche sauf que là vous ne verrez plus jamais les sanisettes de la même façon.
Au final, King nous livre un recueil décevant car ses thèmes sentent le réchauffé...
J'avais redécouvert Stephen King à travers le fabuleux DOME, un ouvrage extraordinaire. Et j'ai enchaîné avec Nuit Noire, étoiles mortes...
Puis Juste avant le crépuscule.
Disons le d'emblée, ce recueil de nouvelles m'a profondément déçu.
J'aime le King fantastique, je suis beaucoup moins fan de celui qui transforme les psychopathes et autres névrosés en monstres modernes. Ou de celui qui fait l'apologie de la vengeance... Alors qu'il est contre la peine de mort... bref ce n'est pas cool de flatter les bas instincts du lecteur...
Les nouvelles
Willa : une histoire de fantômes du déjà lu peu intéressant
La Fille pain d'épice : l'histoire d'une jeune femme qui va devoir échapper à un psychopathe sympa sans plus
Le rêve d'Harvey, une histoire de prémonition longue à se mettre en place
Aire de repos : encore une histoire avec un psychopathe (un mari violent), bof
Vélo d'appart : enfin une histoire avec du fantastique mais c'est assez long à se mettre en place
Laissés pour compte : une nouvelle en phase avec le 11 septembre. Intéressante, fantastique, une des bonnes pioches du recueil.
Fête de diplome : la peur de la bombe A sur les States... très décevant
N : ca se veut lovecraftien, mais ça n'en a pas la saveur
un chat d'enfer : la bonne nouvelle du recueil. Dommage que ce soit une très ancienne de King, c'est jouissif d'un bout à l'autre
le new york times a un prix spécial : une histoire sur le deuil, sur la communication avec l'au delà pas mal
Muet : un type confie ses soucis à un muet, en fait un psychopathe (y'en a beaucoup hein)
Ayana une histoire de guérison, de don qui m'a gavé
un tres petit coin : une histoire de voisins qui ne peuvent pas s'encadrer, ca rappelle la corniche sauf que là vous ne verrez plus jamais les sanisettes de la même façon.
Au final, King nous livre un recueil décevant car ses thèmes sentent le réchauffé...
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Sunday, October 14, 2012
Halliennales (compte rendu)
Hier avaient lieu les Halliennales, premier festival du nom consacré aux vampires et à la littérature fantastique.
Sans difficulté, j'atteins le magnifique complexe Pierre de Coubertin, une immense salle de sport transformée en antre des vampires et des auteurs de littérature fantastique.
Très vite, je suis accueilli par deux sympathiques amis et Patrick Vaast
Je découvre ensuite le stand livres tenu par Cindy Quéval, de la librairie roubaisienne la porte des mondes, une libraire passionnée.
Aie caramba !!! y a plein de figurines et ouf, il n'y a pas la marionnette de Saw sinon mon budget aurait déjà explosé.
Partout on s'installe, entre le marché fantastique, les auteurs...
Je rencontre enfin Ludovic Rosmorduc
, je revois Alain Pozzuoli Denis Labbé qui m'a peut être zombifié (le mystère reste entier).
Anthelme Hauchecorne arrive avec un reste d'angine, puis il va parler à la télé sur weo.
Les exquis men qui ont contribué à l'organisation de cette manifestation sont aux petits soins pour nous...
1 400 visiteurs passeront la porte de la salle...
Ce salon a été aussi l'occasion de rencontrer des gens intéressés par le genre (ouf), de parler avec des camarades auteurs, avec mon futur éditeur ...
Une très bonne journée, un très bon repas, des gens prévenants, à notre écoute...
BRAVO !
et quelques photos que vous pouvez allègrement piller (avec un lien vers le blog ce serait sympa)
Et qui appelle-t-on quand il y a un problème ??? GHOST... EUH EXQUIS MEN !
LES INVITES
DAVID KHARA NOUS FAIT UN BON DISCOURS. BRAVO EL PARRAIN
MICHEL BORDERIE DANS SES OEUVRES
DARK SMALL
XXXXXXXXXXXXXXXXXXX
Pierre Pevel / Ludovic Deloraine /de bien jolies vampires, /
et la vedette féminine du salon MARIKA GALLMAN
Sans difficulté, j'atteins le magnifique complexe Pierre de Coubertin, une immense salle de sport transformée en antre des vampires et des auteurs de littérature fantastique.
Très vite, je suis accueilli par deux sympathiques amis et Patrick Vaast
Je découvre ensuite le stand livres tenu par Cindy Quéval, de la librairie roubaisienne la porte des mondes, une libraire passionnée.
Aie caramba !!! y a plein de figurines et ouf, il n'y a pas la marionnette de Saw sinon mon budget aurait déjà explosé.
Partout on s'installe, entre le marché fantastique, les auteurs...
Je rencontre enfin Ludovic Rosmorduc
, je revois Alain Pozzuoli Denis Labbé qui m'a peut être zombifié (le mystère reste entier).
Anthelme Hauchecorne arrive avec un reste d'angine, puis il va parler à la télé sur weo.
Les exquis men qui ont contribué à l'organisation de cette manifestation sont aux petits soins pour nous...
1 400 visiteurs passeront la porte de la salle...
Ce salon a été aussi l'occasion de rencontrer des gens intéressés par le genre (ouf), de parler avec des camarades auteurs, avec mon futur éditeur ...
Une très bonne journée, un très bon repas, des gens prévenants, à notre écoute...
BRAVO !
et quelques photos que vous pouvez allègrement piller (avec un lien vers le blog ce serait sympa)
Et qui appelle-t-on quand il y a un problème ??? GHOST... EUH EXQUIS MEN !
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Wednesday, October 10, 2012
CE SAMEDI
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Friday, October 05, 2012
L'auteur et la cape du super héros...
Week-ends très chargés en ce moment avec des dédicaces toutes les semaines...
A côté, il y a la nécessité de rester efficace au boulot, le vrai, celui qui paye les factures même s'il a davantage de dimension que ce côté monétaire.
Des fois, on se dit qu'on porte une cape de super-héros parce qu'on le veut bien. Ce n'est pas évident tous les jours... Concilier ces deux vies...
Retourner à la réalité.
Parce que la dédicace, le salon, c'est magique, c'est être l'auteur qui présente son univers (et se prend des vents de la part de quelques personnes pas toujours très sympathiques).
C'est quelquefois galère d'être sur la route, loin de sa famille, mais il n'y a pas... Jess Kaan ne partage avec JK Rowling que deux initiales.
Pour le reste, on peut espérer que naîtra l'alchimie. Ce week end, je serai donc à Nieppes le dimanche;
vIENDREZ VOUS ME VOIR ?
A côté, il y a la nécessité de rester efficace au boulot, le vrai, celui qui paye les factures même s'il a davantage de dimension que ce côté monétaire.
Des fois, on se dit qu'on porte une cape de super-héros parce qu'on le veut bien. Ce n'est pas évident tous les jours... Concilier ces deux vies...
Retourner à la réalité.
Parce que la dédicace, le salon, c'est magique, c'est être l'auteur qui présente son univers (et se prend des vents de la part de quelques personnes pas toujours très sympathiques).
C'est quelquefois galère d'être sur la route, loin de sa famille, mais il n'y a pas... Jess Kaan ne partage avec JK Rowling que deux initiales.
Pour le reste, on peut espérer que naîtra l'alchimie. Ce week end, je serai donc à Nieppes le dimanche;
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Wednesday, September 19, 2012
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Thursday, September 13, 2012
Elégie pour un ange de Marie Alix Thomelin
Marion a 15 ans, c'est une brillante musicienne qui vient d'intégrer une prestigieuse école de musique parisienne, malgré une prestation moyenne. Orpheline de père, elle vit dans l'ombre d'une mère virtuose. Une vie tranquille en apparence, sauf qu'à l'école deux garçons l'attirent. Gabriel sage et posé et Samuel, beaucoup plus sombre mais avec lequel son art semble se développer pour confiner au divin....
Hélas, les apparences ne sont pas toujours ce qu'elles paraissent.
Il faut avoir un côté Girly m'a dit- Marie Alix Thomelin en me dédicaçant son roman à Conches en Ouche, ce qui m'a un peu effrayé.
Et force est de constater que soit j'ai un côté girly (au quel cas c'est une révélation), soit... Non le roman de Marie Alix est tout simplement très très bon, a fortiori pour une première oeuvre.
On éprouve très vite de l'empathie pour les personnages de Marie Alix Thomelin. Marion dans l'ombre de sa mère, tiraillée par les souvenirs sombres du passé...
Gabriel, Samuel : tous sont authentiques. On sent perler certains souvenirs.
Et la musique qui lie ces êtres nous devient audible car Marie Alix Thomelin ne perd jamais son intrigue malgré son goût immodéré pour les belles notes dont elle parle avec justesse. Les chapitres s'enchaînent, on veut savoir comment cette histoire va se terminer... Bien sûr, il y a certaines révélations qui n'en sont pas vraiment, des dialogues ou scènes en italique qui montrent l'importance de ce qui se joue - mais c'est une histoire éternelle sur la place du bien, du mal, sur l'adolescence, période charnière. C'est très bien écrit.
Sous une couverture magnifique, ce premier roman se dévore d'une traite. Il séduira autant les filles qui ont un côté girly forcément que les autres...
Vivement le second tome !
version papier
version numerique
Hélas, les apparences ne sont pas toujours ce qu'elles paraissent.
Il faut avoir un côté Girly m'a dit- Marie Alix Thomelin en me dédicaçant son roman à Conches en Ouche, ce qui m'a un peu effrayé.
Et force est de constater que soit j'ai un côté girly (au quel cas c'est une révélation), soit... Non le roman de Marie Alix est tout simplement très très bon, a fortiori pour une première oeuvre.
On éprouve très vite de l'empathie pour les personnages de Marie Alix Thomelin. Marion dans l'ombre de sa mère, tiraillée par les souvenirs sombres du passé...
Gabriel, Samuel : tous sont authentiques. On sent perler certains souvenirs.
Et la musique qui lie ces êtres nous devient audible car Marie Alix Thomelin ne perd jamais son intrigue malgré son goût immodéré pour les belles notes dont elle parle avec justesse. Les chapitres s'enchaînent, on veut savoir comment cette histoire va se terminer... Bien sûr, il y a certaines révélations qui n'en sont pas vraiment, des dialogues ou scènes en italique qui montrent l'importance de ce qui se joue - mais c'est une histoire éternelle sur la place du bien, du mal, sur l'adolescence, période charnière. C'est très bien écrit.
Sous une couverture magnifique, ce premier roman se dévore d'une traite. Il séduira autant les filles qui ont un côté girly forcément que les autres...
Vivement le second tome !
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Tuesday, September 11, 2012
Nouvelle très bonne critique
Une critique très positive de Fissures est à lire sur le blog de la librairie roubaisienne la porte des mondes....
Le genre de critiques qui vous fait très chaud au coeur et vous booste...
ici
extrait Ambiance lourde et pesante, stressante, étrange, elle ne nous quitte pas un seul instant, au cours de ces nouvelles. Avec justesse, sans fioriture, un style posé, un « juste ce qu’il faut », l’auteur nous embarque dans son univers noir, dans les méandres et les errances de ses personnages. L’horreur ne vient pas des monstres tapis dans le placard, humains et monstres ne font plus qu’un. Et ils cherchent à nous entraîner à leur suite, à nous faire sombrer avec eux, à nous noyer sous nos émotions, en succombant aux leurs.
VERSION PAPIER
VERSION KINDLE
ALORS OSEREZ VOUS DECOUVRIR FISSURES ??????????????????
Le genre de critiques qui vous fait très chaud au coeur et vous booste...
ici
extrait Ambiance lourde et pesante, stressante, étrange, elle ne nous quitte pas un seul instant, au cours de ces nouvelles. Avec justesse, sans fioriture, un style posé, un « juste ce qu’il faut », l’auteur nous embarque dans son univers noir, dans les méandres et les errances de ses personnages. L’horreur ne vient pas des monstres tapis dans le placard, humains et monstres ne font plus qu’un. Et ils cherchent à nous entraîner à leur suite, à nous faire sombrer avec eux, à nous noyer sous nos émotions, en succombant aux leurs.
VERSION PAPIER
VERSION KINDLE
ALORS OSEREZ VOUS DECOUVRIR FISSURES ??????????????????
Wednesday, August 29, 2012
Midnight Movie Tobe Hopper
Tobe Hopper est le réalisateur de massacre à la tronçonneuse, un slasher movie qui rapporta un paquet de blé aux studios hollywoodiens. Fauché, il accepte d'assister à la projection d'un film qu'il tourna adolescent. Problème, il ne sait pas de quoi parle le film...
Après la projection, des spectateurs se trouvent affectés par un mal étrange. Certains baisent jusqu'à en mourir, d'autres deviennent des zombies, des labos de dope explosent à travers les States... Et s'il était l'unique responsable de ce carnage ?
Ecrit de manière familière, vulgaire quelquefois, Midnight Movie vaut surtout pour sa construction alternant les points de vue façon interview ou plans de film, des extraits de blog avec commentaires truculents, d'articles de journaux. De ce point de vue, c'est parfaitement réussi. Il y a aussi les persos, le Hopper capable d'autodérision... L'humour.
Si on est happés au début, l'intrigue tend néanmoins à s'épuiser et à tourner en rond jusqu'à la conclusion façon the ring.
Ca ressemble à l'antre de la folie de Carpenter, la grossièreté en plus, il y a un zeste de ring, un peu de zombie....
Perso, je reste très mitigé et je me dis que Hopper est tombé dans la facilité. Dommage.
Après la projection, des spectateurs se trouvent affectés par un mal étrange. Certains baisent jusqu'à en mourir, d'autres deviennent des zombies, des labos de dope explosent à travers les States... Et s'il était l'unique responsable de ce carnage ?
Ecrit de manière familière, vulgaire quelquefois, Midnight Movie vaut surtout pour sa construction alternant les points de vue façon interview ou plans de film, des extraits de blog avec commentaires truculents, d'articles de journaux. De ce point de vue, c'est parfaitement réussi. Il y a aussi les persos, le Hopper capable d'autodérision... L'humour.
Si on est happés au début, l'intrigue tend néanmoins à s'épuiser et à tourner en rond jusqu'à la conclusion façon the ring.
Ca ressemble à l'antre de la folie de Carpenter, la grossièreté en plus, il y a un zeste de ring, un peu de zombie....
Perso, je reste très mitigé et je me dis que Hopper est tombé dans la facilité. Dommage.
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Batman : entre blockbuster et tentative de réflexion
Batman n'est plus. Huit ans après avoir affronté le joker et Double Face, le justicier masqué a cessé d'arpenter les rues de Gotham.
Hélas, lorsque Bane terroriste notoire débarque dans sa ville, Bruce Wayne se voit contraint de renfiler un costume devenu trop difficile à porter désormais.
J'étais impatient de voir le dernier volet de la trilogie de Batman. Rien à voir avec la première série mis en scène par des Burton, etc... Cette série qui fait carton pâte aujourd'hui. Nolan a su retrouver la noirceur du héros et transformer des blockbusters en films puissants. Le réalisateur a aussi tenté d'apporter un peu de réflexion à ces trois opus.
Concernant Dark Knight rises, Batman oscille entre forces et faiblesses.
Les forces :
des images choc,
de l'action,
du retournement de situation
une tentative pour élaborer une psychologie fouillée des personnages
une musique prenant aux tripes.
Et surtout une volonté de réflexion sur l'état de décrépitude des civilisations occidentales, notamment de l'Amérique.
D'un côté les puissants, les riches vivant à la surface, de l'autre, les pauvres engloutis par les égouts tels les Morlocks de HG Wells ou condamnés à vivoter. Comme un lien entre les deux mondes, se dresse Bane, le terroriste sans visage, l'homme qui n'a rien à perdre, la force brute. Le "révolutionnaire" qui va faire basculer Gotham en invitant les petits plus nombreux à prendre les armes et instaurer un régime digne de la Terreur de 1792.
On sent dans ce Batman, l'Amérique post subprimes, un pays où l'on enferme des milliers de délinquants, un pays où le régime policier n'est pas loin.
C'est de ce point de vue que Batman Dark Knight rises s'avère un film ambitieux en tentant de montrer un instantané d'une époque.
Malheureusement , il y a aussi les faiblesses;
C'est plutôt long à se mettre en place.
Il y a des bugs dans le scénario, des invraisemblances, notamment quand l'enfant sort de la prison et va chercher son père qui était parti.
Et il y aussi la mort de Marion Cotillard parodiée depuis
voir ici
Au final, ce dernier opus de Batman s'avère un bon spectacle pourvu que l'on se laisse happer.
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Monday, August 27, 2012
UN ROMAN DE FANTASY QUI FERA PARLER DE LUI...
Un bouquin évènement à paraître sous peu !
fans de fantasy, ruez vous !!!
Vous allez vous régaler...
fans de fantasy, ruez vous !!!
Vous allez vous régaler...
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Olivier Gay,
Pascal Quidault,
roman fantasy
Thursday, August 23, 2012
FISSURES NUMERIQUE
Vous avez renoncé au format papier,?
vous possédez une liseuse.. ?
Vous avez envie de me lire ?
TANT MIEUX POUR VOUS
FISSURES EST DISPONIBLE AU FORMAT NUMERIQUE DEPUIS HIER
LE LIEN
Et pour votre culture perso, des photos de masque d'infamie. Ils étaient portés au Moyen âge par les personnes condamnées par l'église.
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jess kaan,
LIVRE NUMERIQUE
Sunday, August 19, 2012
Nuit noire, étoiles mortes
Stephen King, prolifique auteur américain, n'est plus à présenter.
Si l'homme est un romancier éclectique, il est aussi un auteur de nouvelles de talent. Ont ainsi été adaptées pour le cinéma Mist (brumes), chambre 1408...
L'un de ses derniers recueils sortis en France est NUIT NOIRE, ETOILES MORTES.
Malheureusement, celui-ci ne fait pas partie du meilleur de sa production. Dommage car la couverture était assez engageante !
Explications.
4 textes composent ce recueil
1922 : nous ramène dans les USA agricoles du XXème siècle.
Un fermier tue son épouse pour une question de terre... Aidé par son fils, il jette le cadavre dans un puits à l'abandon, mais rien ne se passe comme prévu. Taraudés par la culpabilité et le fantôme de Mme, il sombrera..
Bien sûr, il y a le côté documentaire, la vie dans les états ruraux avant la grande crise, il y a l'écriture ciselée... MAIS le texte comporte quelques longueurs et n'offre pas une grande nouveauté. Les rats qui interviennent évoquent Lovecraft...
Grand Chauffeur Tess est une auteure qui intervient devant des clubs de lecture. Un jour elle donne l'une de ses conférences et repart par un raccourci préconisée par l'organisatrice de l'évènement. Malheureusement, celui-ci s'avère un traquenard. Violée, laissée pour morte, elle décide de se venger... Son parcours sera sanglant.
King est un ardent opposant à la peine de mort (voir la ligne verte), pourtant ici, il met en exergue la loi du talion comme il le fera dans la dernière nouvelle du recueil. Alors il faut être logique jusqu'au bout, soit on est pour la peine de mort institutionnalisée, soit on est contre. Mais la loi du Talion est à mon sens pire que d'exécuter un vrai coupable. Bref Tess est certes une femme courageuse, il y a certes un problème de violence envers les femmes que ce soit aux States et dans le monde, mais... Il manque de "subtilité" dans le texte.
Extension claire Une histoire de pacte avec le diable. Le héros cancéreux rencontre le diable sur un bord de route. Il obtient quinze ans de vie supplémentaire, mais en échange, il bousille la vie idyllique de son meilleur ami (lequel lui a piqué sa copine il y a quelques années). King traverse l'histoire américaine des dernières années avec jubilation (enfin pour lui). Mais le texte est archiclassique, long...
Bon ménageDarcellen découvre que son mari est un serial killer (prononcez seriaaaaaall killlller) et un cas de conscience l'envahit. Le dénoncer au risque de bousiller la vie de ses enfants, l'accepter et risquer la damnation... Finalement, elle va le trucider. Là encore loi du Talion mise en exergue. c'est un très bon texte avec de bonnes réflexions, un personnage froid... Mais ça ne marche pas à 100 %.
Notamment la conclusion trop "morale ?"
Outre le fait que beaucoup de ses personnages sont accidentés, King rend avec Nuit noire, étoiles mortes, un recueil moyennement satisfaisant. C'est toujours aussi bien écrit, prenant, mais c'est long et parfois trop convenu. Bien sûr, il y a la volonté de montrer des gens ordinaires confrontés à l'extraordinaire, d'ancrer dans un contexte social... Mais les considérations pro-démocrates commencent à devenir un peu trop pesantes et le bonhomme n'est pas à une contradiction près (cf ma remarque sur la peine de mort). King a mûri, il est plus impliqué dans la société qu'au début de sa carrière. Toutefois, ce recueil ne restera pas son meilleur opus par manque de textes hyper puissants.
Si l'homme est un romancier éclectique, il est aussi un auteur de nouvelles de talent. Ont ainsi été adaptées pour le cinéma Mist (brumes), chambre 1408...
L'un de ses derniers recueils sortis en France est NUIT NOIRE, ETOILES MORTES.
Malheureusement, celui-ci ne fait pas partie du meilleur de sa production. Dommage car la couverture était assez engageante !
Explications.
4 textes composent ce recueil
1922 : nous ramène dans les USA agricoles du XXème siècle.
Un fermier tue son épouse pour une question de terre... Aidé par son fils, il jette le cadavre dans un puits à l'abandon, mais rien ne se passe comme prévu. Taraudés par la culpabilité et le fantôme de Mme, il sombrera..
Bien sûr, il y a le côté documentaire, la vie dans les états ruraux avant la grande crise, il y a l'écriture ciselée... MAIS le texte comporte quelques longueurs et n'offre pas une grande nouveauté. Les rats qui interviennent évoquent Lovecraft...
Grand Chauffeur Tess est une auteure qui intervient devant des clubs de lecture. Un jour elle donne l'une de ses conférences et repart par un raccourci préconisée par l'organisatrice de l'évènement. Malheureusement, celui-ci s'avère un traquenard. Violée, laissée pour morte, elle décide de se venger... Son parcours sera sanglant.
King est un ardent opposant à la peine de mort (voir la ligne verte), pourtant ici, il met en exergue la loi du talion comme il le fera dans la dernière nouvelle du recueil. Alors il faut être logique jusqu'au bout, soit on est pour la peine de mort institutionnalisée, soit on est contre. Mais la loi du Talion est à mon sens pire que d'exécuter un vrai coupable. Bref Tess est certes une femme courageuse, il y a certes un problème de violence envers les femmes que ce soit aux States et dans le monde, mais... Il manque de "subtilité" dans le texte.
Extension claire Une histoire de pacte avec le diable. Le héros cancéreux rencontre le diable sur un bord de route. Il obtient quinze ans de vie supplémentaire, mais en échange, il bousille la vie idyllique de son meilleur ami (lequel lui a piqué sa copine il y a quelques années). King traverse l'histoire américaine des dernières années avec jubilation (enfin pour lui). Mais le texte est archiclassique, long...
Bon ménageDarcellen découvre que son mari est un serial killer (prononcez seriaaaaaall killlller) et un cas de conscience l'envahit. Le dénoncer au risque de bousiller la vie de ses enfants, l'accepter et risquer la damnation... Finalement, elle va le trucider. Là encore loi du Talion mise en exergue. c'est un très bon texte avec de bonnes réflexions, un personnage froid... Mais ça ne marche pas à 100 %.
Notamment la conclusion trop "morale ?"
Outre le fait que beaucoup de ses personnages sont accidentés, King rend avec Nuit noire, étoiles mortes, un recueil moyennement satisfaisant. C'est toujours aussi bien écrit, prenant, mais c'est long et parfois trop convenu. Bien sûr, il y a la volonté de montrer des gens ordinaires confrontés à l'extraordinaire, d'ancrer dans un contexte social... Mais les considérations pro-démocrates commencent à devenir un peu trop pesantes et le bonhomme n'est pas à une contradiction près (cf ma remarque sur la peine de mort). King a mûri, il est plus impliqué dans la société qu'au début de sa carrière. Toutefois, ce recueil ne restera pas son meilleur opus par manque de textes hyper puissants.
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Friday, August 10, 2012
BLACK SWAN
Aujourd'hui, je vais vous parler des 51 ere minutes de Black Swan...
Pourquoi 51 et pas 52, ni 53 ?
Car je ne suis pas allé plus loin, j'avais promis de faire un effort, mais je suis faibleeeeeeeeeee !
Donc Black Swan, c'est l'histoire de Nina, danseuse qui rêve d'interpréter la reine des cygnes après le départ (éviction) de la vedette de la troupe.
Sous la férule de Leroy, elle tente d'incarner le cygne blanc et le cygne noir, son double maléfique.
Tiens ça fait vaguement penser aux chevaliers du zodiaque (en plus Nina pleurniche autant que Yoga ???? Pourtant, elle n'est pas blonde et sa mère ne gît pas au fond de l'océan intacte dans un bateau coulé ???)
Bref c'est filmé près du corps, c'est tournoyant (moi ça me fait l'effet du grand huit à Dennlys Parc près de Fauquembergues), Nina saigne souvent.
Stressée ? Possédée ? Je n'en sais rien, je n'ai pas eu le courage d'approfondir.
Les filles sont garces entre elles... C'est convenu.
C'est théoriquement sensuel, destiné à être malsain.
Bon faut dire que les scènes de masturbation m'ont paru limite hors propos...
Et non définitivement, je n'ai pas accroché...
Alors si vous aimez les films oscarisés, foncez. Sinon, on peut zapper et se mettre des Kaamelott, c'est marrant, plus prenant.
Je sais, je suis un piètre critique parce que faire le parallèle avec les chevaliers du zodiaque...
SACHANT QUE JE VOUS AI DONNE L ENVIE DE LE COMMANDER VOUS AVEZ LE LIEN AU DESSUS...
Pourquoi 51 et pas 52, ni 53 ?
Car je ne suis pas allé plus loin, j'avais promis de faire un effort, mais je suis faibleeeeeeeeeee !
Donc Black Swan, c'est l'histoire de Nina, danseuse qui rêve d'interpréter la reine des cygnes après le départ (éviction) de la vedette de la troupe.
Sous la férule de Leroy, elle tente d'incarner le cygne blanc et le cygne noir, son double maléfique.
Tiens ça fait vaguement penser aux chevaliers du zodiaque (en plus Nina pleurniche autant que Yoga ???? Pourtant, elle n'est pas blonde et sa mère ne gît pas au fond de l'océan intacte dans un bateau coulé ???)
Bref c'est filmé près du corps, c'est tournoyant (moi ça me fait l'effet du grand huit à Dennlys Parc près de Fauquembergues), Nina saigne souvent.
Stressée ? Possédée ? Je n'en sais rien, je n'ai pas eu le courage d'approfondir.
Les filles sont garces entre elles... C'est convenu.
C'est théoriquement sensuel, destiné à être malsain.
Bon faut dire que les scènes de masturbation m'ont paru limite hors propos...
Et non définitivement, je n'ai pas accroché...
Alors si vous aimez les films oscarisés, foncez. Sinon, on peut zapper et se mettre des Kaamelott, c'est marrant, plus prenant.
Je sais, je suis un piètre critique parce que faire le parallèle avec les chevaliers du zodiaque...
SACHANT QUE JE VOUS AI DONNE L ENVIE DE LE COMMANDER VOUS AVEZ LE LIEN AU DESSUS...
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Sunday, August 05, 2012
Après Fissures, et été studieux
Fissures est sorti en avril, un recueil inédit en poche, ça doit en perturber plus d'un ! Quelques critiques toutes positives, des dédicaces qui se sont bien passées et d'autres à venir à la rentrée...
Néanmoins, pas question de revivre l'après Dérobade où je pensais tout acquis, où je me suis presque mis à déprimer, faute de projets.
Fissures terminé, je me suis immédiatement attelé à d'autres projets.
En premier, un polar. Oui, c'est une bifurcation dans ma """"""carrière"""", mais il s'agit d'une commande pour une série à venir. J'avais peur au début. Pour l'heure, l'écriture avance plutôt bien. Je suis dans les temps ; l'intrigue est glauque et vicieuse.
J'ai soumis un roman jeunesse (enfin jeunesse pour moi c'est à partir de 15 ans avec l'envie de lire un truc qui dépote et non pas de la resucée politiquement-correct).
Et j'ai hâte de reprendre mon roman de genre fantastique avec beaucoup de remarques sociétales...
Bref vous l'avez compris, je ne m'ennuie pas.
Allez, il est temps que j'y aille !
Jess
Tuesday, July 31, 2012
Duma Key de Stephen King
Stephen King est sans doute la figure contemporaine du fantastique. Depuis les succès de Carrie et de Shining
, l'auteur nous a offert des romans aux thèmes très différents, ainsi que des nouvelles marquantes. Sa production a été aussi marquée par quelques oeuvres en dessous des autres, mais King est un humain comme les autres... La perfection n'est pas de ce monde.
Il y a un avant et après l'accident chez King. L'accident, c'est cette voiture qui l'a percuté en 1999 et lui a valu des semaines d'hospitalisation. voir ici
Après cette convalescence, King a évolué dans ses thèmes et Duma Key fait incontestablement partie de ces livres portés par une réflexion d'homme mûr.
L'histoire : Edgar Fremantle était un self made man américain, entrepreneur, bosseur. Puis un accident sur un chantier l'a laissé infirme, amputé d'un bras.
Après un coma, Fremantle se réveille, la mémoire en vrac, les pensées confuses, mû par un agressivité qui fait foirer son mariage et l'incite à partir.
Il se retrouve alors en Floride, sur une île nommée Duma Key. Là, il va se découvrir un talent incroyable pour la peinture et surtout il va se rendre compte que l'art est un vecteur de puissance, a fortiori lorsque l'art est inspiré par des puissances maléfiques.
Sur la forme : Duma Key est un ouvrage qui se mérite, un ouvrage destiné à un public qui a fait un travail sur lui-même. Jeunes lecteurs évitez donc ce Stephen King car vous manquerez d'empathie pour Fremantle.
L'histoire est assez longue à se mettre en place, à basculer dans le fantastique. On suit un homme d'âge mûr dont le monde part soudain en vrille. Adieu femme, entreprise, raison de vivre, bienvenue dans la confusion des paroles... Pour un proche de la quarantaine tel que votre humble serviteur, ce bouquin frappe au coeur, invite à se poser une multitude de questions...
Puis vient la peinture et l'entrée progressive dans le monde plus fantastique d'un King assez inspiré. Lorsque Fremantle réalise ses premières toiles, on est là à l'observer, à l'envier, à espérer que ce talent lui permettra de dépasser sa condition...
Des apparitions, un paysage torturé comme dans le raccourci de Mme Todd, une vieille femme atteinte d'Alzheimer dont les crises de lucidité donnent le frisson... Un voisin déglingué par la vie, confident et ami à la fois... King donne corps à son univers.
Enfin nous entrons dans le dernier tiers du livre et là, on n'a plus envie de lâcher le roman. Car les évènements se précipitent à mesure que le mystère de Duma Key se dévoile. Spectres hostiles, bateau fantôme, créature infernale... Fremantle doit lutter pour sa survie et celle de ceux qu'il aime...
Tout au long de ce roman que j'ai trouvé formidable, King suscite l'empathie pour son personnage, le fait évoluer, le confronte aux doutes...
Outre cette histoire, il y a dans Duma Key, une réflexion sur la place de l'art, sur son pouvoir créateur.
Sur la quatrième de couv de l'édition poche, une critique Sabrina Champenois parle de série B, de Tarantino : elle n'a rien pigé au livre. Tarantino en met plein la vue il est l'ami des critiques, de l'esbrouffe, mais pas celui du spectateur. Son Pulp fiction est une grosse daube, aussitôt vu, aussitôt oublié.
King lui a choisi d'évoluer dans ses thèmes, de se poser en homme mûr désireux de faire un bilan. Par curiosité, je suis allé jeter un oeil sur les critiques amazon et j'ai vu cette scission dans son lectorat. entre ceux ayant trouvé ce roman long et les autres...
En conclusion, Duma Key est un très très bon roman pourvu que l'on ait déjà vécu et que l'on se pose des questions. C'est un travail d'orfèvre au niveau de l'écriture, de l'imbrication des chapitres et de la construction des personnages. Great Work, Mister Stephen King.
cETTE pHOTO EST l'oeuvre de Pinguino ; elle est sous licence creative common.
, l'auteur nous a offert des romans aux thèmes très différents, ainsi que des nouvelles marquantes. Sa production a été aussi marquée par quelques oeuvres en dessous des autres, mais King est un humain comme les autres... La perfection n'est pas de ce monde.
Il y a un avant et après l'accident chez King. L'accident, c'est cette voiture qui l'a percuté en 1999 et lui a valu des semaines d'hospitalisation. voir ici
Après cette convalescence, King a évolué dans ses thèmes et Duma Key fait incontestablement partie de ces livres portés par une réflexion d'homme mûr.
L'histoire : Edgar Fremantle était un self made man américain, entrepreneur, bosseur. Puis un accident sur un chantier l'a laissé infirme, amputé d'un bras.
Après un coma, Fremantle se réveille, la mémoire en vrac, les pensées confuses, mû par un agressivité qui fait foirer son mariage et l'incite à partir.
Il se retrouve alors en Floride, sur une île nommée Duma Key. Là, il va se découvrir un talent incroyable pour la peinture et surtout il va se rendre compte que l'art est un vecteur de puissance, a fortiori lorsque l'art est inspiré par des puissances maléfiques.
Sur la forme : Duma Key est un ouvrage qui se mérite, un ouvrage destiné à un public qui a fait un travail sur lui-même. Jeunes lecteurs évitez donc ce Stephen King car vous manquerez d'empathie pour Fremantle.
L'histoire est assez longue à se mettre en place, à basculer dans le fantastique. On suit un homme d'âge mûr dont le monde part soudain en vrille. Adieu femme, entreprise, raison de vivre, bienvenue dans la confusion des paroles... Pour un proche de la quarantaine tel que votre humble serviteur, ce bouquin frappe au coeur, invite à se poser une multitude de questions...
Puis vient la peinture et l'entrée progressive dans le monde plus fantastique d'un King assez inspiré. Lorsque Fremantle réalise ses premières toiles, on est là à l'observer, à l'envier, à espérer que ce talent lui permettra de dépasser sa condition...
Des apparitions, un paysage torturé comme dans le raccourci de Mme Todd, une vieille femme atteinte d'Alzheimer dont les crises de lucidité donnent le frisson... Un voisin déglingué par la vie, confident et ami à la fois... King donne corps à son univers.
Enfin nous entrons dans le dernier tiers du livre et là, on n'a plus envie de lâcher le roman. Car les évènements se précipitent à mesure que le mystère de Duma Key se dévoile. Spectres hostiles, bateau fantôme, créature infernale... Fremantle doit lutter pour sa survie et celle de ceux qu'il aime...
Tout au long de ce roman que j'ai trouvé formidable, King suscite l'empathie pour son personnage, le fait évoluer, le confronte aux doutes...
Outre cette histoire, il y a dans Duma Key, une réflexion sur la place de l'art, sur son pouvoir créateur.
Sur la quatrième de couv de l'édition poche, une critique Sabrina Champenois parle de série B, de Tarantino : elle n'a rien pigé au livre. Tarantino en met plein la vue il est l'ami des critiques, de l'esbrouffe, mais pas celui du spectateur. Son Pulp fiction est une grosse daube, aussitôt vu, aussitôt oublié.
King lui a choisi d'évoluer dans ses thèmes, de se poser en homme mûr désireux de faire un bilan. Par curiosité, je suis allé jeter un oeil sur les critiques amazon et j'ai vu cette scission dans son lectorat. entre ceux ayant trouvé ce roman long et les autres...
En conclusion, Duma Key est un très très bon roman pourvu que l'on ait déjà vécu et que l'on se pose des questions. C'est un travail d'orfèvre au niveau de l'écriture, de l'imbrication des chapitres et de la construction des personnages. Great Work, Mister Stephen King.
cETTE pHOTO EST l'oeuvre de Pinguino ; elle est sous licence creative common.
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Saturday, July 28, 2012
Et Après (afterwards)
Et après c'est l'histoire de Nathan, un frenchie qui est revenu de la mort. C'est aussi celle du Dr Kay qui vient le voir quelques années plus tard pour lui dire qu'il est capable de voir quelles personnes vont bientôt mourir...
Et Nathan se dit alors qu'il va mourir...
Et après c'est tiré d'un roman de Guillaume Musso, un auteur français bankable...
Alors, je me suis dit, il faut que j'analyse en quoi son fantastique est si efficace... A-t-il la valeur d'un Stephen King (une adaptation télé donne souvent un avant-goût).?.
Loupè-je quelque chose ?
Alors (oui je sais je me répète...), bon soit le film est très mal réalisé avec de jolis plans esthétiques (superbe image du cygne au début) des acteurs qui ont la présence de figurants à l'écran, des dialogues platissimes, soit le roman ayant servi de canevas à cette histoire est sans grande profondeur, encensé par des gens qui n'ont aucune idée de ce qu'est le BON FANTASTIQUE.
Je ne me prononcerai pas en tranchant... Toujours que le film est looooooooong malgré son 1h47, qu'il est hautement dispensable...
Bref, si vous l'avez sous la main, inutile de le visionner.
Et Nathan se dit alors qu'il va mourir...
Et après c'est tiré d'un roman de Guillaume Musso, un auteur français bankable...
Alors, je me suis dit, il faut que j'analyse en quoi son fantastique est si efficace... A-t-il la valeur d'un Stephen King (une adaptation télé donne souvent un avant-goût).?.
Loupè-je quelque chose ?
Alors (oui je sais je me répète...), bon soit le film est très mal réalisé avec de jolis plans esthétiques (superbe image du cygne au début) des acteurs qui ont la présence de figurants à l'écran, des dialogues platissimes, soit le roman ayant servi de canevas à cette histoire est sans grande profondeur, encensé par des gens qui n'ont aucune idée de ce qu'est le BON FANTASTIQUE.
Je ne me prononcerai pas en tranchant... Toujours que le film est looooooooong malgré son 1h47, qu'il est hautement dispensable...
Bref, si vous l'avez sous la main, inutile de le visionner.
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Friday, July 20, 2012
Fissures : les premières critiques.
Fissures mon dernier né est sorti le 25/04.
Il a eu droit à quelques critiques.
Je vous en livre des extraits et vous renvoie vers les liens
Enjoy
la plume ou la vie "Un très bon travail d'auteur"
le lien
LA VOIX DU NORD, édition régionale un recueil prometteur
Patrick S Vast Puis il y a eu "Fissures" de Jess Kaan aux éditions Lokomodo, un recueil de nouvelles fantastiques, très surprenantes et écrites dans un style efficace. sur son blog
PSychovision qui m'attribue un 9/10 Les quinze nouvelles de ce recueil sont donc tout autant de chocs, de pamphlets et de moments d'épouvante où de rares notes d'espoir viennent nous surprendre. le lien
Frédéric Lyvins auteur sur son blog dit Un recueil de nouvelles atypiques dont je ne peux que recommander la lecture !
sur Babelio, Eugene-Rastignac dit "Stephen King a son Maine, Jess Kaan a le Nord Pas de calais." ca se passe ici
sur facebook Catherine Degans dit Excellent Fissures ! C'est noir, palpitant et envoûtant à souhait ! On ne s'ennuie pas un instant..
A la sixieme minute environ, l'émission parle du côté documenté de Fissures c'est à écouter ici...
Voilà pour aujourd'hui, Fissures c'est ce livre.
FISSURES 7, 3 EUROS EDITIONS LOKOMODO FORMAT POCHE.
Et pour le commander via Amazon
NE VOUS INQUIETEZ PAS SUR LA PROVISOIRE RUPTURE DE STOCK CE N EST PAS LA PREMIERE !
Il a eu droit à quelques critiques.
Je vous en livre des extraits et vous renvoie vers les liens
Enjoy
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LA VOIX DU NORD, édition régionale un recueil prometteur
Patrick S Vast Puis il y a eu "Fissures" de Jess Kaan aux éditions Lokomodo, un recueil de nouvelles fantastiques, très surprenantes et écrites dans un style efficace. sur son blog
PSychovision qui m'attribue un 9/10 Les quinze nouvelles de ce recueil sont donc tout autant de chocs, de pamphlets et de moments d'épouvante où de rares notes d'espoir viennent nous surprendre. le lien
Frédéric Lyvins auteur sur son blog dit Un recueil de nouvelles atypiques dont je ne peux que recommander la lecture !
sur Babelio, Eugene-Rastignac dit "Stephen King a son Maine, Jess Kaan a le Nord Pas de calais." ca se passe ici
sur facebook Catherine Degans dit Excellent Fissures ! C'est noir, palpitant et envoûtant à souhait ! On ne s'ennuie pas un instant..
A la sixieme minute environ, l'émission parle du côté documenté de Fissures c'est à écouter ici...
Voilà pour aujourd'hui, Fissures c'est ce livre.
FISSURES 7, 3 EUROS EDITIONS LOKOMODO FORMAT POCHE.
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NE VOUS INQUIETEZ PAS SUR LA PROVISOIRE RUPTURE DE STOCK CE N EST PAS LA PREMIERE !
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Tuesday, July 17, 2012
Chronicle
Il y a des films dont certains amis vous parlent et que vous avez manqué au ciné.
Vous vous dites alors "pas de bol", j'aurais troooooooooooop aimé le voir.
Chronicle était de ces films.
En guise de résumé, des adolescents américains touchent une matière spatiale et se retrouvent affublés de pouvoirs extraordinaires qui vont en grandissant.
Sur le papier (enfin ici sur l'écran), l'idée de départ est sympa.
Las, le traitement est affligeant.
Après une phase de découverte de leurs dons où nos ados vont s'amuser en faisant les cons et en se filmant (car un ado moderne ne peut pas vivre autrement qu'en se filmant et en partageant sur les réseaux sociaux c'est bien connu), vient l'heure de la prise de conscience.
Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, si si. C'était dans le premier Spiderman avant qu'on ne reprenne la série à zéro faute d'idées dans les studios hollywoodiens.
L'un de nos ados étant mal dans sa peau, encadré par un père alcoolique et violent, une mère malade, ayant échoué lors de sa première fois où il vomit sur la demoiselle qui voulait lui faire une fell......., il pète un câble et devient super méchant tandis que son cousin essaie de le ramener à la raison.
Sur la jaquette du film, vous trouverez plein de superlatifs pour le décrire avec des noms de magazines prestigieux.
Pour la prochaine édition, je doute que l'on rajoute le blog à jess kaan "BOF!", mais voilà mon opinion.
Chronicle est gonflant dans ses choix.
La caméra partout et tout le temps n'apporte pas grand chose. Les personnages ne suscitent pas d'empathie (on a un succédané d'Obama bien en vue beau gosse, tchatcheur, un looser et le cousin à moitié mal dans sa peau qui aimerait bien coucher avec une bloggeuse blonde). Le héros devient méchant et on se distancie par rapport à lui. Le background des trois personnages est mauvais. On est dans du sous Heroes, une série où les protagonistes avaient tous un quelque chose en plus. ALORS NOS TROIS ACTEURS ONT UNE BELLE GUEULE CERTES ! Ils n'ont pas grand chose dans le citron mais bon on s'y habitue (hein les moines bouddhistes qui volent au Tibet on dira que c'est du second degré) ! Le film n'est pas trop long... Heureusement. Il y a des effets spéciaux à la fin surtout parce que l'on commençait à s'endormir. Mode ironie on On a un vrai message sur la place de la famille et de la sexualité chez les ados... Le méchant a une mauvaise famille et il a raté sa première expérience sexuelle donc il tourne mal...
DONC AU FINAL. UN FILM DISPENSABLE.
PS : oui je sais que je ne suis plus un ado et que je ne suis pas le coeur de cible... Mais là franchement....
Vous vous dites alors "pas de bol", j'aurais troooooooooooop aimé le voir.
Chronicle était de ces films.
En guise de résumé, des adolescents américains touchent une matière spatiale et se retrouvent affublés de pouvoirs extraordinaires qui vont en grandissant.
Sur le papier (enfin ici sur l'écran), l'idée de départ est sympa.
Las, le traitement est affligeant.
Après une phase de découverte de leurs dons où nos ados vont s'amuser en faisant les cons et en se filmant (car un ado moderne ne peut pas vivre autrement qu'en se filmant et en partageant sur les réseaux sociaux c'est bien connu), vient l'heure de la prise de conscience.
Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, si si. C'était dans le premier Spiderman avant qu'on ne reprenne la série à zéro faute d'idées dans les studios hollywoodiens.
L'un de nos ados étant mal dans sa peau, encadré par un père alcoolique et violent, une mère malade, ayant échoué lors de sa première fois où il vomit sur la demoiselle qui voulait lui faire une fell......., il pète un câble et devient super méchant tandis que son cousin essaie de le ramener à la raison.
Sur la jaquette du film, vous trouverez plein de superlatifs pour le décrire avec des noms de magazines prestigieux.
Pour la prochaine édition, je doute que l'on rajoute le blog à jess kaan "BOF!", mais voilà mon opinion.
Chronicle est gonflant dans ses choix.
La caméra partout et tout le temps n'apporte pas grand chose. Les personnages ne suscitent pas d'empathie (on a un succédané d'Obama bien en vue beau gosse, tchatcheur, un looser et le cousin à moitié mal dans sa peau qui aimerait bien coucher avec une bloggeuse blonde). Le héros devient méchant et on se distancie par rapport à lui. Le background des trois personnages est mauvais. On est dans du sous Heroes, une série où les protagonistes avaient tous un quelque chose en plus. ALORS NOS TROIS ACTEURS ONT UNE BELLE GUEULE CERTES ! Ils n'ont pas grand chose dans le citron mais bon on s'y habitue (hein les moines bouddhistes qui volent au Tibet on dira que c'est du second degré) ! Le film n'est pas trop long... Heureusement. Il y a des effets spéciaux à la fin surtout parce que l'on commençait à s'endormir. Mode ironie on On a un vrai message sur la place de la famille et de la sexualité chez les ados... Le méchant a une mauvaise famille et il a raté sa première expérience sexuelle donc il tourne mal...
DONC AU FINAL. UN FILM DISPENSABLE.
PS : oui je sais que je ne suis plus un ado et que je ne suis pas le coeur de cible... Mais là franchement....
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Wednesday, July 04, 2012
Fissures dans l'écho du Pas de Calais
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Saturday, June 23, 2012
Dead Silence
Un film d'horreur acheté dans le bac 5 films pour 20 euros.
Par les créateurs de Saw précise la jaquette...
Le genre de détail qui incite à la méfiance d'ordinaire..
sauf que là, c'est plutôt bon.
Dead Silence - bande annonce VF par Paramount_Pictures_France
L'histoire,
A Ravens Fair, on a trucidé la ventriloque après la disparition d'un enfant. Depuis son esprit se venge des habitants en leur arrachant la langue. Un jour, une poupée de ventriloque arrive chez le héros et sa femme est assassinée, il repart donc à Ravens Fair pour savoir en quoi il est impliqué.
Disons le d'emblée, ce qui frappe dans Dead Silence, ce sont les décors. Gothiques à souhait. La photographie est splendide. On a l'impression d'avoir rebasculé dans les films ayant fait la gloire de la Hammer... Entre la ville à l'abandon, le théâtre près du lac perdu, le manoir, l'office des pompes funèbres, il se dégage indéniablement une ambiance de fond.
La musique est trippante, un peu comme le générique de début. Bizarre, intrigant, intéressant;
Au niveau du scénar, on ne va pas crier au génie. Marie Shaw est comme le personnage de Darkness Falls, la fée des dents. Insaisissable, terrifiante parfois, lorsqu'elle n'apparaît pas en gros plan...
Pas de gros frissons, une histoire de marionnettes, mais des pérégrinations qui valent d'être suivies.
Le final qui se veut efficace ne fonctionne qu'à moitié, mais Dead Silence est l'occasion de passer une soirée frisson.
Par les créateurs de Saw précise la jaquette...
Le genre de détail qui incite à la méfiance d'ordinaire..
sauf que là, c'est plutôt bon.
Dead Silence - bande annonce VF par Paramount_Pictures_France
L'histoire,
A Ravens Fair, on a trucidé la ventriloque après la disparition d'un enfant. Depuis son esprit se venge des habitants en leur arrachant la langue. Un jour, une poupée de ventriloque arrive chez le héros et sa femme est assassinée, il repart donc à Ravens Fair pour savoir en quoi il est impliqué.
Disons le d'emblée, ce qui frappe dans Dead Silence, ce sont les décors. Gothiques à souhait. La photographie est splendide. On a l'impression d'avoir rebasculé dans les films ayant fait la gloire de la Hammer... Entre la ville à l'abandon, le théâtre près du lac perdu, le manoir, l'office des pompes funèbres, il se dégage indéniablement une ambiance de fond.
La musique est trippante, un peu comme le générique de début. Bizarre, intrigant, intéressant;
Au niveau du scénar, on ne va pas crier au génie. Marie Shaw est comme le personnage de Darkness Falls, la fée des dents. Insaisissable, terrifiante parfois, lorsqu'elle n'apparaît pas en gros plan...
Pas de gros frissons, une histoire de marionnettes, mais des pérégrinations qui valent d'être suivies.
Le final qui se veut efficace ne fonctionne qu'à moitié, mais Dead Silence est l'occasion de passer une soirée frisson.
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Wednesday, June 20, 2012
Le destin des Morts, JP Favard
Epinal, je me retrouve assis à côté d'un gars nommé JP Favard que je ne connais ni d'Eve, ni d'Adam. Au bout de deux jours, le courant est bien passé, je trouve le Monsieur sympa et intrigué par sa présentation de son destin des morts à la belle couverture de Jimmy Kerast j'en fais l'acquisition.
Bonne pioche.
Format poche paru chez Lokomodo, le destin des morts offre une nouvelle, une novella, un roman et une micronouvelle pour la modique somme de 7 euros.
Disons le d'emblée, je suis d'ordinaire assez méfiant quant au fantastique français qui se regarde écrire et oublie l'histoire en route, mais Jean-Pierre Favard n'est pas de cette caste là. Pourquoi ?
Parce que Jean-Pierre Favard possède certes une belle plume, mais surtout parce qu'en quelques lignes, il pose son histoire et nous embringue dedans.
On suit ses personnages, on s'identifie à eux aisément, puis la situation bascule et c'est rudement efficace. Il y aussi des personnages aux caractères trempés, des personnages trop humains...
Dans le destin des morts, Jean-Pierre Favard est parvenu à me flanquer la trouille avec une apparition subite. Et pourtant, je suis assez difficile à impressionner. Cela prouve l'efficacité de son écriture, de son sens du détail, de la mise en scène.
Le Monsieur aime bien jouer avec les clichés (des randonneurs près d'une maison en ruine, un groupe de rock dans une maison hantée, des étudiants qui reviennent sur les lieux d'une disparition mystérieuse) ; nous en donner l'illusion et ensuite bifurquer sur son propre chemin. Et on lui en est reconnaissant.
Dans ce destin des morts, il est souvent question de fantômes, du passé tragique et de légendes !
Parce que Jean-Pierre Favard aime rattacher ses récits au fonds légendaire du Morvan. J'ai énormément apprécié cet aspect légendaire, ces mythes que je ne connaissais pas.
C'est un procédé que j'affectionne, qui montre à quel point nos régions recèlent des trésors pour l'imaginaire.
Le livre se compose donc d'une nouvelle Mauvaises Vibrations, efficace.
D'une novella ghost'n'roll baby, bien prenante et tripante avec une chute à la hauteur de ce qui précède...
d'un roman la seconde mort de Camille Millien, très bon de bout en bout
et d'une micronouvelle trés anecdotique à mon sens; mais je pense que c'est la forme de la micronouvelle qui me gêne.
Hormis quelques coquilles, c'est un très bon ouvrage que vous pourrez découvrir sans hésiter et c'est un auteur qui mérite d'être suivi !
D'autres ouvrages sont parus à la clef d'argent et méritent le détour, ai-je entendu !
Bonne pioche.
Format poche paru chez Lokomodo, le destin des morts offre une nouvelle, une novella, un roman et une micronouvelle pour la modique somme de 7 euros.
Disons le d'emblée, je suis d'ordinaire assez méfiant quant au fantastique français qui se regarde écrire et oublie l'histoire en route, mais Jean-Pierre Favard n'est pas de cette caste là. Pourquoi ?
Parce que Jean-Pierre Favard possède certes une belle plume, mais surtout parce qu'en quelques lignes, il pose son histoire et nous embringue dedans.
On suit ses personnages, on s'identifie à eux aisément, puis la situation bascule et c'est rudement efficace. Il y aussi des personnages aux caractères trempés, des personnages trop humains...
Dans le destin des morts, Jean-Pierre Favard est parvenu à me flanquer la trouille avec une apparition subite. Et pourtant, je suis assez difficile à impressionner. Cela prouve l'efficacité de son écriture, de son sens du détail, de la mise en scène.
Le Monsieur aime bien jouer avec les clichés (des randonneurs près d'une maison en ruine, un groupe de rock dans une maison hantée, des étudiants qui reviennent sur les lieux d'une disparition mystérieuse) ; nous en donner l'illusion et ensuite bifurquer sur son propre chemin. Et on lui en est reconnaissant.
Dans ce destin des morts, il est souvent question de fantômes, du passé tragique et de légendes !
Parce que Jean-Pierre Favard aime rattacher ses récits au fonds légendaire du Morvan. J'ai énormément apprécié cet aspect légendaire, ces mythes que je ne connaissais pas.
C'est un procédé que j'affectionne, qui montre à quel point nos régions recèlent des trésors pour l'imaginaire.
Le livre se compose donc d'une nouvelle Mauvaises Vibrations, efficace.
D'une novella ghost'n'roll baby, bien prenante et tripante avec une chute à la hauteur de ce qui précède...
d'un roman la seconde mort de Camille Millien, très bon de bout en bout
et d'une micronouvelle trés anecdotique à mon sens; mais je pense que c'est la forme de la micronouvelle qui me gêne.
Hormis quelques coquilles, c'est un très bon ouvrage que vous pourrez découvrir sans hésiter et c'est un auteur qui mérite d'être suivi !
D'autres ouvrages sont parus à la clef d'argent et méritent le détour, ai-je entendu !
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Sunday, June 17, 2012
INFECTION
Yo, une petite chronique d'un bouquin entre sf et fantastique...
Présentation de l'éditeur (MODE le Jess fainéant ON )
Seul mot d'ordre : éviter la panique. D'étranges organismes se développent sur des hôtes humains, les poussant à la folie et au meurtre. CIA et scientifiques enquêtent dans le plus grand secret. Mais l'infection se répand. Et un matin, Perry Dawsey, un ancien joueur de foot américain, se réveille avec des marques bizarres sur tout le corps... qui se mettent à pousser. Son comportement devient instable et il entend des voix : il est infecté. Pire, la maladie exige des choses de lui. Mais Perry va se battre. Il est prêt à toutes les extrémités pour se débarrasser des parasites. Ce sera " eux " ou lui !
/ MODE LE JESS FAINEANT OFF
Bon disons que tout commence avec quelques suicides inexpliqués doublés de meurtres sauvages sur des proches... Que l'histoire continue avec un joueur de foot américain déchu et violent qui se débat contre des parasites... Que les autorités américaines essaient de cacher la vérité à leur population...
Vous rajoutez quelques scènes d'automutilation bien dégueu. Un personnage qui tente d'éliminer ces parasites intelligents (quoi je n'ai pas dit plus que lui ?)
Vous prenez un peu de poncifs, le sportif devenu employé de bureau, un roman qui s'enlise avant de nous offrir une image de portail dimensionnel et vous obtenez infection.
Ce n'est pas purement mauvais, c'est prenant par moments, mais... je ne sais pas. Ca confine au déjà-lu. Sauf que le héros va se mutiler l'appareil reproducteur...
Pour le reste, ça se lit vite, mais ce n'est pas révolutionnaire...
A lire si vous n'avez rien d'autre sous la main.
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Wednesday, June 13, 2012
Papa, maman, mon clone et moi... C Lambert
Charly est un enfant unique... Enfin plus vraiment depuis que ses parents ont adhéré à sécurité +, un programme destiné à le cloner pour le cas où il lui arriverait quelque chose. Et si Charly 2 prenait en charge les tâches les plus désagréables ?
Avec cet ouvrage paru chez Mini Syros, Christophe Lambert traite du thème du clonage, occasion de nouer le débat dans une classe de CE2 / CM. Pas de folles péripéties, un style simple adapté aux lecteurs. Du côté du scénar, des similitudes avec Multiplicity où le clone se voit d'abord confier les corvées. Ici il va à l'école, chez une tante que Charly 1 n'aime pas trop... Sf light pour jeunes lecteurs : ce livre bien gentillet à la fin facile devrait séduire son public.
C'est bien ce qu'on lui demande !
Avec cet ouvrage paru chez Mini Syros, Christophe Lambert traite du thème du clonage, occasion de nouer le débat dans une classe de CE2 / CM. Pas de folles péripéties, un style simple adapté aux lecteurs. Du côté du scénar, des similitudes avec Multiplicity où le clone se voit d'abord confier les corvées. Ici il va à l'école, chez une tante que Charly 1 n'aime pas trop... Sf light pour jeunes lecteurs : ce livre bien gentillet à la fin facile devrait séduire son public.
C'est bien ce qu'on lui demande !
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Saturday, June 09, 2012
Les Imaginales : une semaine après
Les Imaginales : un bon gros salon d'imaginaire où les gens ne vous regardent pas avec le regard condescendant en pensant "comment a-t-il pu rester adepte du fantastique à son âge ?"
Les Imaginales, pour nous c'est 5 heures de route. Un paquet de radars fixes lorsque l'on arrive sur les départementales (celui dans une descente limitée à 70 est magnifique d'ailleurs ! un peu comme celui de Gravelines dans la Marne, abrité derrière le panneau d'entrée d'agglomération pour qu'il ne prenne pas froid.), quelques radars mobiles aussi parce qu'on ne sait jamais... Un paysage qui évolue avec l'apparition d'éoliennes...
Mais bref revenons au festival.
Arrivée vendredi à l'hôtel, très sympa. Pas à Epinal même mais juste à côté. Comme convenu avec la réception qui ferme à 20h, les clefs sont sur la porte. La chambre est confortable, elle ne sent pas (à l'inverse de la chambre que nous avions réservé en 2010 dans un autre hôtel où le gérant s'était senti obligé de nous demander de parler chti... ce que nous n'avions pas fait. Punaise Boon, t'as vu où on en est à présent avec tes co.... ?????? )
Une douche, quelques pages d'Infection chez Milady (critique à venir), une émission sur le triangle des Bermudes sur direct 8.... Oui j'avoue j'ai lu Sans trace de Charles Berlitz quand j'étais gamin et j'avais été fasciné...
Puis dodo.
Samedi matin, petit dej hyper copieux (car la question se pose : où trouvera-t-on à manger ??) : arrivée à 9h45 sur le salon.
Quelques mots échangés avec un Jérôme d'Actusf carburant au café (Fissures, Jérôme, pas Frisson :-))
Ma femme Catsacha Isabelle Chatel Merlier, auteur de Grisemine
installe ses illos sur le stand Argemmios
où Mathieu Coudray se fera attendre avec chaînes et crochets (c'est elle qui m'a dit de balancer :-)
Moi, je me rends sur le stand Lokomodo.
Comme ils sont beaux mes Fissures !!!!!
Je fais ensuite un petit tour dans les Imaginales qui ouvrent en fait à 9h.
*
*
*
*
Je suis frappé par le nombre de nouveaux petits editeurs courageux dans un secteur en difficulté... puis retour sur le stand où je fais la connaissance des auteurs Anaïs Cros, timide, mais prolifique avec sa série où Sherlock Holmes est devenu un elfe.
*
*
*
Anthelme Hauchecorne à la volubilité extraordinaire
*
*
, Marie Alix Thomelin , Jean Pierre Favard qui se la pète avec un tampon pour dédicacer (mais nous l'accepterons tout de même !!! Je blague... En fait, je dois être jaloux car c'est un magnifique tampon qu'il a le JP !!!).
Je revois Denis Labbé
, Peggy Van Peteghem, Rémy Guyard, Thomas Riquet, Ludovic Berneau le boss !
DISONS LE TOUT DE SUITE : il règne sur ce stand une super ambiance.
Détendue, joviale...
Les premières personnes se montrent assez intéressées et nous écoutent ! D'autres sont là, fidèles après avoir acheté les précédents opus ! yeah, je n'en reviens pas !!!
EN FACE DE NOUS LE STAND bODYPAINTING AVEC des créatures magnifiques... Les photos sont pour Philippe Halvick.
Le temps file : il est midi. Nous partons en ville chasser le sandwich... Nous y découvrons, outre la ficelle aux lardons, une viennoiserie du coin : l'escargot, choco pistache. Révélation...
Ah si j'avions su, j'en aurais acheté deux !!! je vous mets la photo de la boulangerie qui prépare ce délice et je vous invite à vous y rendre nombreux.
Retour aux imaginales où la pile de Fissures diminue très vite...
Un afflux de foule nous parvient et dedans des amateurs de fantastique !!!!
Si si il en reste !!!! Loués soient Lovecraft et King !!!!
19H : fin pour nous des dédicaces.
Recherche d'un restau (il y a deux ans, on s'était fait refouler d'une pizzeria - trop de monde- cette fois, on y a une place, mais le service est looooooooooong !!! Du coup, je visite les toilettes super beaux... J'envoie des sms aux potes...
21h 15 en quête du cinéma...
Hop ce sera Prometheus... DONT VOUS AVEZ LU LE COMPTE RENDU SI VOUS ETES ABONNE A CE BLOG !!!! OU SI VOUS Y VENEZ REGULIEREMENT...
Dimanche : Il a plu, il a tonné, il a venté ! Normal la veille, on a eu chaud
Pas grave, nous repartons tout de même dans le chapiteau où la fatigue des jours précédents se ressent sur le visage des autres... (AHAHAHAHAHAHA)...
Un petit tour, un achat auprès de JP Favard - je ferai sous peu un compte rendu de son destin des morts editions Lokomodo.
QUELQUES PHOTOS.
A 11 h je suis au chômage technique car plus de Fissures....
Donc je me promène, je prends des photos d'auteurs qui dédicacent ou non, salue des gens, je me tape un peu la discute avec Victor Dixen sans ses lunettes (le Monsieur a des projets pour l'après Jack Spark, il est très aimable),
Midi retour à la boulangerie : il n'y a plus d'escargot choco pistache donc ce sera un croissant choco pistache... Miam.
Je fais découvrir le subway local au staff lokomodo et l'après midi vers 14h30/15h nous quittons les imaginales caractérisées par une vraie effervescence et la présence d'un public passionné.
Le succès de cette manifestation tient en partie à la gratuité de l'entrée, à la présence de nombreux auteurs invités ou présents par leurs propres moyens, aux amateurs d'histoire costumés -je pense aux napoléoniens, aux mousquetaires, aux fanas de cosplay, à des lieux magnifiques et surtout à un public fan de ce genre !
Bref, j'ai hâte d'y retourner afin d'y présenter des nouveautés..
L'année prochaine ??????
NB : Vous pouvez récupérer les photos comme bon vous semble, of course ! Soyez juste sympa d'indiquer un lien vers mon site www.petite-horreur.com MERCI
Les Imaginales, pour nous c'est 5 heures de route. Un paquet de radars fixes lorsque l'on arrive sur les départementales (celui dans une descente limitée à 70 est magnifique d'ailleurs ! un peu comme celui de Gravelines dans la Marne, abrité derrière le panneau d'entrée d'agglomération pour qu'il ne prenne pas froid.), quelques radars mobiles aussi parce qu'on ne sait jamais... Un paysage qui évolue avec l'apparition d'éoliennes...
Mais bref revenons au festival.
Arrivée vendredi à l'hôtel, très sympa. Pas à Epinal même mais juste à côté. Comme convenu avec la réception qui ferme à 20h, les clefs sont sur la porte. La chambre est confortable, elle ne sent pas (à l'inverse de la chambre que nous avions réservé en 2010 dans un autre hôtel où le gérant s'était senti obligé de nous demander de parler chti... ce que nous n'avions pas fait. Punaise Boon, t'as vu où on en est à présent avec tes co.... ?????? )
Une douche, quelques pages d'Infection chez Milady (critique à venir), une émission sur le triangle des Bermudes sur direct 8.... Oui j'avoue j'ai lu Sans trace de Charles Berlitz quand j'étais gamin et j'avais été fasciné...
Puis dodo.
Samedi matin, petit dej hyper copieux (car la question se pose : où trouvera-t-on à manger ??) : arrivée à 9h45 sur le salon.
Quelques mots échangés avec un Jérôme d'Actusf carburant au café (Fissures, Jérôme, pas Frisson :-))
Ma femme Catsacha Isabelle Chatel Merlier, auteur de Grisemine
installe ses illos sur le stand Argemmios
où Mathieu Coudray se fera attendre avec chaînes et crochets (c'est elle qui m'a dit de balancer :-)
Moi, je me rends sur le stand Lokomodo.
Comme ils sont beaux mes Fissures !!!!!
Je fais ensuite un petit tour dans les Imaginales qui ouvrent en fait à 9h.
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Je suis frappé par le nombre de nouveaux petits editeurs courageux dans un secteur en difficulté... puis retour sur le stand où je fais la connaissance des auteurs Anaïs Cros, timide, mais prolifique avec sa série où Sherlock Holmes est devenu un elfe.
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Anthelme Hauchecorne à la volubilité extraordinaire
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, Marie Alix Thomelin , Jean Pierre Favard qui se la pète avec un tampon pour dédicacer (mais nous l'accepterons tout de même !!! Je blague... En fait, je dois être jaloux car c'est un magnifique tampon qu'il a le JP !!!).
Je revois Denis Labbé
, Peggy Van Peteghem, Rémy Guyard, Thomas Riquet, Ludovic Berneau le boss !
DISONS LE TOUT DE SUITE : il règne sur ce stand une super ambiance.
Détendue, joviale...
Les premières personnes se montrent assez intéressées et nous écoutent ! D'autres sont là, fidèles après avoir acheté les précédents opus ! yeah, je n'en reviens pas !!!
EN FACE DE NOUS LE STAND bODYPAINTING AVEC des créatures magnifiques... Les photos sont pour Philippe Halvick.
Le temps file : il est midi. Nous partons en ville chasser le sandwich... Nous y découvrons, outre la ficelle aux lardons, une viennoiserie du coin : l'escargot, choco pistache. Révélation...
Ah si j'avions su, j'en aurais acheté deux !!! je vous mets la photo de la boulangerie qui prépare ce délice et je vous invite à vous y rendre nombreux.
Retour aux imaginales où la pile de Fissures diminue très vite...
Un afflux de foule nous parvient et dedans des amateurs de fantastique !!!!
Si si il en reste !!!! Loués soient Lovecraft et King !!!!
19H : fin pour nous des dédicaces.
Recherche d'un restau (il y a deux ans, on s'était fait refouler d'une pizzeria - trop de monde- cette fois, on y a une place, mais le service est looooooooooong !!! Du coup, je visite les toilettes super beaux... J'envoie des sms aux potes...
21h 15 en quête du cinéma...
Hop ce sera Prometheus... DONT VOUS AVEZ LU LE COMPTE RENDU SI VOUS ETES ABONNE A CE BLOG !!!! OU SI VOUS Y VENEZ REGULIEREMENT...
Dimanche : Il a plu, il a tonné, il a venté ! Normal la veille, on a eu chaud
Pas grave, nous repartons tout de même dans le chapiteau où la fatigue des jours précédents se ressent sur le visage des autres... (AHAHAHAHAHAHA)...
Un petit tour, un achat auprès de JP Favard - je ferai sous peu un compte rendu de son destin des morts editions Lokomodo.
QUELQUES PHOTOS.
A 11 h je suis au chômage technique car plus de Fissures....
Donc je me promène, je prends des photos d'auteurs qui dédicacent ou non, salue des gens, je me tape un peu la discute avec Victor Dixen sans ses lunettes (le Monsieur a des projets pour l'après Jack Spark, il est très aimable),
Midi retour à la boulangerie : il n'y a plus d'escargot choco pistache donc ce sera un croissant choco pistache... Miam.
Je fais découvrir le subway local au staff lokomodo et l'après midi vers 14h30/15h nous quittons les imaginales caractérisées par une vraie effervescence et la présence d'un public passionné.
Le succès de cette manifestation tient en partie à la gratuité de l'entrée, à la présence de nombreux auteurs invités ou présents par leurs propres moyens, aux amateurs d'histoire costumés -je pense aux napoléoniens, aux mousquetaires, aux fanas de cosplay, à des lieux magnifiques et surtout à un public fan de ce genre !
Bref, j'ai hâte d'y retourner afin d'y présenter des nouveautés..
L'année prochaine ??????
NB : Vous pouvez récupérer les photos comme bon vous semble, of course ! Soyez juste sympa d'indiquer un lien vers mon site www.petite-horreur.com MERCI
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