Aujourd'hui, je suis allé me promener en visiteur au salon du Polar de Lens.
Le salon du polar de Lens, c'est le rv de tous les amateurs de littérature policière ; il y a lieu une fois par an à la Halle Bertinchamps.
Un endroit très pratique d'accès pourvu que l'on vienne en voiture
On a vraiment de la chance d'avoir autant de salons dans le Nord Pas de calais.
Première impression en entrant, il y a de l'animation.
Du va et vient, des auteurs attablés, l'occasion de découvrir certaines oeuvres nouvelles.
Les organisateurs ont installé divers ateliers, une sculpture et des oeuvres de collégiens de Segpa qui ont travaillé autour de Hopper...
La police scientifique explique son métier.
C'est très convivial et le public est intéressé
On aperçoit des auteurs très connus comme Alexis Aubenque, Maître Blandine Lejeune.
Mais je l'avoue, je suis venu pour rencontrer un Embaumeur, j'entends par là le troisième auteur signant les aventures de Luc Mandoline à l'atelier Mosesu.
Eh oui ce sont mes comparses car je signerai l'une de ses aventures très prochainement... Enfin dans quelques mois.
En attendant voici le trailer de la série
Claude Vasseur est un mec sympa, qui ne se prend pas la tête. Il me dit d'emblée que son Maître c'est FREDERIC DARD ET SAN ANTONIO, qu'il s'est éclaté à écrire son opus de l'embaumeur. Tant mieux, je vais découvrir un nouveau style après le Harpicide de Michel Vigneron et Ainsi Fut il de Hervé Sard.
Je me fais dédicacer le CONCERTO EN LINGOTS D'OR PUIS j'attends Elena Piacentini, la plus Corse des auteurs nordistes.
Je lui achète Vendetta chez les chtis qui fait suite à Art Brut...
Elena a apprécié Fissures et cela me fait plaisir.
Les gosses ont réussi à se faire offrir des livres, vaut mieux ça que des bonbons !
Ils ont eu un beau bracelet...
Tout le monde semble content, même si certains auteurs paraissent attendre l'affluence...
Une bonne sortie ce salon...
Des genres de l'imaginaire au policier, ne laissez pas la vilenie et la bassesse du monde vous contaminer, ouvrez votre esprit, votre âme.
Sunday, March 24, 2013
Salon du Polar LENS 2013
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Thursday, March 21, 2013
Quand disparaissent les Maîtres...
Aujourd'hui est une sale journée. James Herbert, l'un des maîtres anglais du fantastique, est décédé.
James Herbert est cet auteur incontournable de terreur qui m'a donné envie d'écrire des histoires fantastiques.
J'ai lu Les rats en une soirée et j'ai alors éprouvé un réel plaisir de lecteur.
Enfin une littérature qui m'était destinée !
J'ai ensuite dévoré une bonne partie de son oeuvre, me régalant de Dis Moi qui tu Hantes, 1948, Fog...
James Herbert était un romancier sincère, un romancier qui écrivait pour tout le monde. Il nous offrait ce que l'on appelle des romans de gare. Vous savez ces oeuvres que l'on dévore et qui nous font passer un bon moment.
Car lire, ce n'est pas seulement repartir aux racines, mais aussi éprouver ce sentiment indicible de liberté, d'évasion...
Lire c'est un plaisir et non une corvée. C'est ce que les profs oublient trop souvent de montrer aux élèves, ce plaisir.
James Herbert n'est plus, mais il reste son oeuvre.
Puissiez vous la découvrir et être transportés vous aussi.
Jess bien triste
James Herbert est cet auteur incontournable de terreur qui m'a donné envie d'écrire des histoires fantastiques.
J'ai lu Les rats en une soirée et j'ai alors éprouvé un réel plaisir de lecteur.
Enfin une littérature qui m'était destinée !
J'ai ensuite dévoré une bonne partie de son oeuvre, me régalant de Dis Moi qui tu Hantes, 1948, Fog...
James Herbert était un romancier sincère, un romancier qui écrivait pour tout le monde. Il nous offrait ce que l'on appelle des romans de gare. Vous savez ces oeuvres que l'on dévore et qui nous font passer un bon moment.
Car lire, ce n'est pas seulement repartir aux racines, mais aussi éprouver ce sentiment indicible de liberté, d'évasion...
Lire c'est un plaisir et non une corvée. C'est ce que les profs oublient trop souvent de montrer aux élèves, ce plaisir.
James Herbert n'est plus, mais il reste son oeuvre.
Puissiez vous la découvrir et être transportés vous aussi.
Jess bien triste
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LES RATS
Tuesday, March 12, 2013
neige en Pas de Calais
Ce matin, réveil avec une sacrée quantité de neige, occasion de faire quelques photos...
Le terril a des airs de station de sport d'hiver
Eh transport de poudreuse !!!
Pour sortir va falloir pelleter :!
Dans les rues, il erre avec sa pelle !!! Le pelleteur fouuuuuuuuuuuuuuu !!!
Ca se passe comme ça chez ...
On n'est pas sortis !!!
En France si tu veux avancer, t'as qu'à pelleter !!!!!!!!!!
C'est la m... NEIGE
Le terril a des airs de station de sport d'hiver
Eh transport de poudreuse !!!
Pour sortir va falloir pelleter :!
Dans les rues, il erre avec sa pelle !!! Le pelleteur fouuuuuuuuuuuuuuu !!!
Ca se passe comme ça chez ...
On n'est pas sortis !!!
En France si tu veux avancer, t'as qu'à pelleter !!!!!!!!!!
C'est la m... NEIGE
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Sunday, March 10, 2013
BRUXELLES : Foire du Livre
Hier samedi 9 mars, foire du Livre à Bruxelles.
Ma deuxième foire du livre après celle faite en 2003 dont je gardais un mauvais souvenir (difficulté de stationnement, lieux surchauffés...)
DISONS LE TOUT DE GO : NOS AMIS BELGES ONT SACREMENT BIEN RECTIFIE LE TIR EN CHANGEANT DE LIEU.
Désormais la foire a lieu sur le site de Tours et taxis, avec parkings gardés, lieux à la hauteur de la manifestation... Bref bravo.
Commençons par le commencement
Lever 6h00, deux heures de route, il s'agirait de ne pas être en retard. Via michelin est mon guide et nous voici partis sur les routes françaises, ces condensés de technologie alternant radars fixes, radars tronçons, radars mobiles... Bref la panoplie habituelle des finances publiques en berne et de l'alibi de la sécurité routière. Quand on voit les ornières sur certaines portions d'autoroutes ou les limitations fantômes, il y a de quoi faire aussi !
La frontière n'est plus qu'un souvenir car les bâtiments la matérialisant ont laissé place à un immense parking encombré de camions... Des Polonais, des Allemands, des Tchèques...
Nous arrivons à Bruxelles à 9H30. Le temps de parcourir le Tunnel Léopold II dans les deux sens (waouh on se croirait dans Daylight) parce qu'on a loupé la sortie ; après avoir manqué l'entrée de Tours et Taxis, nous arrivons enfin devant les lieux où une foule immense se presse déjà. Un gardien sympathique m'invite à me garer sur une place proche de l'entrée...
Il me faudra une dizaine de minutes pour comprendre qu'il existe une entrée auteur... Bon je vous ai dit qu'on s'est levés tôt !!!
Après avoir fait courir Nathalie Dau en dédicaces pour son Roman LA SOMME DES REVES EDITIONS ASGARD histoire qu'elle m'aide à entrer, nous rejoignons Ludovic des Editions Lokomodo (oh ça fait noble écrit ainsi !), Mathieu Coudray et Marion Dhuique-Mayer, auteure de L'Attente d'Eleova (editions Les Lucioles). Le stand est beau, il y a une grande affiche de Fissures que je me promets de piquer dès que l'occasion s'en présentera... Ooops !
N'empêche la couverture de Pascal Quidault déchire en grand format aussi !
Et commence le marathon dédicaces.
D'emblée je suis frappé par la sympathie des visiteurs et leur intérêt pour les littératures de l'imaginaire. De bons échanges, des opportunités que je l'espère se concrétiseront font que la matinée passe en un éclair....
Midi euh non 14H car on n'a pas glandé : le repas.
Non le pigeon perché là-haut ne fait pas partie de la carte
Il était temps car à l'instar de Pizza dans la Folle Histoire de l'Espace je m'autodigérais...
Filet américain mmm ou carbonnade flamande ? Ou Chili ? Ou Poulet tandori ? Ou ???
Ce sera carbonnade flamande. Le cuistot, un Monsieur avec une barbe est super sympa, agréable. Et pourtant il enchaîne les portions avec rapidité, mais pour chaque visiteur le sourire, le mot aimable...
La nourriture est très bonne !!!
franchement faut vraiment aller à Bruxelles pour manger de la bonne carbonnade !
Le plat ne survivra pas...
Retour sur le stand et reprise du marathon. Dommage qu'Anthelme Hauchecorne ne soit pas là ! Il aurait pu faire connaître son AMES DE VERRE. Les Maléfices du temps de Michel Rozenberg séduisent, mon Fissures aussi... Et la Somme des Rêves part comme des petits pains, parce que les lecteurs veulent de la fantasy différente !
Les gens sont toujours aussi sympas. Je suis content de constater que beaucoup de personnes adorent le fantastique pour les mêmes raisons que moi... On se pose aussi la question de savoir si on achètera le King 1963 (même si son prix arghhh)
Je ne regrette pas d'être venu, même si je ne me suis pas promené.
19 h, l'heure des au-revoirs. Nathalie Dau sort l'une de ses vannes à deux balles qu'elle a préparée depuis pf le matin je suppose ! Pff une histoire de fauteuil faite avec mon nom, je vous jure. KAAN A PAIX... Je °dau°deline de la tête... hihi...
Retour pas en ligne directe car Bruxelles, c'est génial avec les travaux...
Donc après être passés quatre fois devant la basilique, on retrouve enfin la bonne route...
Un sandwich sur une aire de repos, retour en France - c'est simple c'est le pays où l'on vous dit bienvenue avec un radar automatique ahah -
Voilà encore un salon très intéressant, avec un public venu découvrir, avec des gens ouverts... Un salon rendu agréable par la convivialité régnant sur le stand, même si Nathalie Dau sort des vannes à deux balles, un salon qui a permis de rencontrer Marion Dhuique-Mayer (qui fait des photos chelous)
Seul regret ne pas avoir rencontré Michel Rozenberg.
A l'année prochaine, je l'espère :!!!!!!!!!!!!!!!!
La semaine prochaine, c'est SALON DE BONDUES.
Ma deuxième foire du livre après celle faite en 2003 dont je gardais un mauvais souvenir (difficulté de stationnement, lieux surchauffés...)
DISONS LE TOUT DE GO : NOS AMIS BELGES ONT SACREMENT BIEN RECTIFIE LE TIR EN CHANGEANT DE LIEU.
Désormais la foire a lieu sur le site de Tours et taxis, avec parkings gardés, lieux à la hauteur de la manifestation... Bref bravo.
Commençons par le commencement
Lever 6h00, deux heures de route, il s'agirait de ne pas être en retard. Via michelin est mon guide et nous voici partis sur les routes françaises, ces condensés de technologie alternant radars fixes, radars tronçons, radars mobiles... Bref la panoplie habituelle des finances publiques en berne et de l'alibi de la sécurité routière. Quand on voit les ornières sur certaines portions d'autoroutes ou les limitations fantômes, il y a de quoi faire aussi !
La frontière n'est plus qu'un souvenir car les bâtiments la matérialisant ont laissé place à un immense parking encombré de camions... Des Polonais, des Allemands, des Tchèques...
Nous arrivons à Bruxelles à 9H30. Le temps de parcourir le Tunnel Léopold II dans les deux sens (waouh on se croirait dans Daylight) parce qu'on a loupé la sortie ; après avoir manqué l'entrée de Tours et Taxis, nous arrivons enfin devant les lieux où une foule immense se presse déjà. Un gardien sympathique m'invite à me garer sur une place proche de l'entrée...
Il me faudra une dizaine de minutes pour comprendre qu'il existe une entrée auteur... Bon je vous ai dit qu'on s'est levés tôt !!!
Après avoir fait courir Nathalie Dau en dédicaces pour son Roman LA SOMME DES REVES EDITIONS ASGARD histoire qu'elle m'aide à entrer, nous rejoignons Ludovic des Editions Lokomodo (oh ça fait noble écrit ainsi !), Mathieu Coudray et Marion Dhuique-Mayer, auteure de L'Attente d'Eleova (editions Les Lucioles). Le stand est beau, il y a une grande affiche de Fissures que je me promets de piquer dès que l'occasion s'en présentera... Ooops !
N'empêche la couverture de Pascal Quidault déchire en grand format aussi !
Et commence le marathon dédicaces.
D'emblée je suis frappé par la sympathie des visiteurs et leur intérêt pour les littératures de l'imaginaire. De bons échanges, des opportunités que je l'espère se concrétiseront font que la matinée passe en un éclair....
Midi euh non 14H car on n'a pas glandé : le repas.
Non le pigeon perché là-haut ne fait pas partie de la carte
Il était temps car à l'instar de Pizza dans la Folle Histoire de l'Espace je m'autodigérais...
Filet américain mmm ou carbonnade flamande ? Ou Chili ? Ou Poulet tandori ? Ou ???
Ce sera carbonnade flamande. Le cuistot, un Monsieur avec une barbe est super sympa, agréable. Et pourtant il enchaîne les portions avec rapidité, mais pour chaque visiteur le sourire, le mot aimable...
La nourriture est très bonne !!!
franchement faut vraiment aller à Bruxelles pour manger de la bonne carbonnade !
Le plat ne survivra pas...
Retour sur le stand et reprise du marathon. Dommage qu'Anthelme Hauchecorne ne soit pas là ! Il aurait pu faire connaître son AMES DE VERRE. Les Maléfices du temps de Michel Rozenberg séduisent, mon Fissures aussi... Et la Somme des Rêves part comme des petits pains, parce que les lecteurs veulent de la fantasy différente !
Les gens sont toujours aussi sympas. Je suis content de constater que beaucoup de personnes adorent le fantastique pour les mêmes raisons que moi... On se pose aussi la question de savoir si on achètera le King 1963 (même si son prix arghhh)
Je ne regrette pas d'être venu, même si je ne me suis pas promené.
19 h, l'heure des au-revoirs. Nathalie Dau sort l'une de ses vannes à deux balles qu'elle a préparée depuis pf le matin je suppose ! Pff une histoire de fauteuil faite avec mon nom, je vous jure. KAAN A PAIX... Je °dau°deline de la tête... hihi...
Retour pas en ligne directe car Bruxelles, c'est génial avec les travaux...
Donc après être passés quatre fois devant la basilique, on retrouve enfin la bonne route...
Un sandwich sur une aire de repos, retour en France - c'est simple c'est le pays où l'on vous dit bienvenue avec un radar automatique ahah -
Voilà encore un salon très intéressant, avec un public venu découvrir, avec des gens ouverts... Un salon rendu agréable par la convivialité régnant sur le stand, même si Nathalie Dau sort des vannes à deux balles, un salon qui a permis de rencontrer Marion Dhuique-Mayer (qui fait des photos chelous)
Seul regret ne pas avoir rencontré Michel Rozenberg.
A l'année prochaine, je l'espère :!!!!!!!!!!!!!!!!
La semaine prochaine, c'est SALON DE BONDUES.
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Sunday, March 03, 2013
AINSI FUT IL / LES MALEFICES DU TEMPS
Chers visiteurs du blog,
deux chroniques de mes dernières lectures en date.
Tout d'abord, le second opus de l'embaumeur : Ainsi Fut-il, écrit par Hervé Sard.
Cette fois Luc Mandoline, l'embaumeur, que je ferai vivre dans un prochain tome est appelé par un châtelain hors normes pour enquêter sur la mort de son petit fils, lequel a été retrouvé écartelé, une pancarte marquée Ravaillac autour du cou. Le médecin de famille a conclu à une mort naturelle...
A l'inverse d'Harpicide qui faisait la part belle à l'action, Hervé Sard privilégie une approche plus san antonienne avec bons mots, personnages truculents (le royaliste communiste de presque 100 balais qui aimerait qu'on enterre fissa son débile de petit-fils est un personnage marquant) et étude de moeurs en milieu royaliste. Il y a un second degré bienvenu. Mandoline va se retrouver plongé dans un univers stupéfiant avec secrets de famille et tutti quanti.
De révélation en révélation, Mandoline apparaît sous un jour nouveau qui séduira les amateurs d'enquête à l'ancienne (je veux dire par là sans coup de feu, courses poursuite etc).
LA LA LALA LALALALA LALALA LALALALA LA (et ça c'est l'air que sifflote l'embaumeur en recousant ses patients !)
Le prochain opus sort en mars pour le salon du polar de Lens
Les Maléfices du Temps de Michel Rozenberg
5 nouvelles écrites par un auteur que je ne connaissais pas, un maître belge du fantastique, heureux gagnant du Masterton en 2007.
On sent l'influence des Maupassant, Thomas Owen etc chez Rozenberg...
Même si certains textes paraissent prévisibles, on se laisse happer par le style de Rozenberg, sa description de personnages, description réaliste et qui fait mouche... Rozenberg, à l'inverse d'autres auteurs, a des histoires à raconter et on se délecte de ses univers, de ces personnages si proches de nous...
La thématique du temps est une thématique fascinante et chaque fois, Rozenberg parvient à la renouveler avec un certain brio.
Malédiction, histoire d'amour, histoire de basculement : Les Maléfices du temps s'avère un bon petit recueil à un prix plus qu'abordable.
La couverture de Kerast est à se taper le derrière par terre !
deux chroniques de mes dernières lectures en date.
Tout d'abord, le second opus de l'embaumeur : Ainsi Fut-il, écrit par Hervé Sard.
Cette fois Luc Mandoline, l'embaumeur, que je ferai vivre dans un prochain tome est appelé par un châtelain hors normes pour enquêter sur la mort de son petit fils, lequel a été retrouvé écartelé, une pancarte marquée Ravaillac autour du cou. Le médecin de famille a conclu à une mort naturelle...
A l'inverse d'Harpicide qui faisait la part belle à l'action, Hervé Sard privilégie une approche plus san antonienne avec bons mots, personnages truculents (le royaliste communiste de presque 100 balais qui aimerait qu'on enterre fissa son débile de petit-fils est un personnage marquant) et étude de moeurs en milieu royaliste. Il y a un second degré bienvenu. Mandoline va se retrouver plongé dans un univers stupéfiant avec secrets de famille et tutti quanti.
De révélation en révélation, Mandoline apparaît sous un jour nouveau qui séduira les amateurs d'enquête à l'ancienne (je veux dire par là sans coup de feu, courses poursuite etc).
LA LA LALA LALALALA LALALA LALALALA LA (et ça c'est l'air que sifflote l'embaumeur en recousant ses patients !)
Le prochain opus sort en mars pour le salon du polar de Lens
Les Maléfices du Temps de Michel Rozenberg
5 nouvelles écrites par un auteur que je ne connaissais pas, un maître belge du fantastique, heureux gagnant du Masterton en 2007.
On sent l'influence des Maupassant, Thomas Owen etc chez Rozenberg...
Même si certains textes paraissent prévisibles, on se laisse happer par le style de Rozenberg, sa description de personnages, description réaliste et qui fait mouche... Rozenberg, à l'inverse d'autres auteurs, a des histoires à raconter et on se délecte de ses univers, de ces personnages si proches de nous...
La thématique du temps est une thématique fascinante et chaque fois, Rozenberg parvient à la renouveler avec un certain brio.
Malédiction, histoire d'amour, histoire de basculement : Les Maléfices du temps s'avère un bon petit recueil à un prix plus qu'abordable.
La couverture de Kerast est à se taper le derrière par terre !
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