Voici le planning de mes prochaines dédicaces,
30 janvier : salon du polar Dainville.
6 février : La Lib-rairie, rue Emmery Dunkerque
20 février : Cultura V2 (10h - 18h... après je vais jouer sur le grand stade!)
5 mars : Librairie du Port, Calais
6 mars : Salon de Don (10h : 13h)
12 et 13 mars : salon de Bondues
19 mars Dunkerque furet
2 avril : 4 Chemins
9 avril : Furet Lille
23 avril : salon Livre de poche à Lomme
24 avril : salon du polar Noeux les Mines
1er mai : salon du Livre Arras
14 mai : St-Raff à Rue
2 juillet : Esquelbecq (sous réserve)
10 juillet : Hardelot le livre dans la rue (matin)
(Vous pouvez aussi commander les ouvrages et faire le pressing auprès de votre libraire adoré, vous pouvez également venir faire dédicacer d'autres ouvrages type LE LABEL N / FISSURES NOIRES)
Vous pouvez aussi partager le planning
Des genres de l'imaginaire au policier, ne laissez pas la vilenie et la bassesse du monde vous contaminer, ouvrez votre esprit, votre âme.
Sunday, January 24, 2016
Planning des dédicaces
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polar historique
Saturday, January 09, 2016
PROCHAIN ROMAN : Le Secret de la Petite Demoiselle
Bonjour à toutes et tous,
Voici la couverture de mon prochain roman à paraître chez POLE NORD EDITIONS.
Comme vous pouvez le constater, il s'agit d'un policier historique, le second de cette collection.
Je le dédicacerai à DAINVILLE LE 30 JANVIER
D'autres dates viendront...
EN ATTENDANT POUR LE COMMANDER
Voici la couverture de mon prochain roman à paraître chez POLE NORD EDITIONS.
Comme vous pouvez le constater, il s'agit d'un policier historique, le second de cette collection.
Je le dédicacerai à DAINVILLE LE 30 JANVIER
D'autres dates viendront...
EN ATTENDANT POUR LE COMMANDER
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Wednesday, January 06, 2016
TERRITOIRES/ OLIVIER NOREK
Il y a quelques mois déjà, j'avais chroniqué CODE 93 d'Olivier Norek. J'avais écrit, je cite, " Bref un très bon livre, je ne dirai pas excellent (pas encore)"
ça se passait ici
J'avais rencontré l'auteur ensuite à Templemars et nous avions discuté. Il avait apprécié me semble-t-il ma justesse (en tout cas, il n'a pas essayé de me dézinguer), car c'est ce qui préside à ce blog. Dire mon ressenti de lecteur.
Aujourd'hui me voici devant vous pour parler de Territoires.
Territoires, c'est l'histoire de Malceny,une cité du 9/3, misère, chômage, précarité et violences liées à un trafic de drogue qui évite à la société de voler en éclats. Parler d'économie souterraine voudrait dire qu'elle est ignorée, mais dans les faits ce trafic, c'est ce qui fait vivre certaines familles (en plus des aides d'état). C'est ce qui évite aux désoeuvrés de foncer dans Paris et d'y opérer des razzias.
3 trafiquants locaux ont été trucidés, pour quel motif ? Qui va les remplacer ? Autant de questions auxquelles vont se retrouver confronter Victor Coste et son équipe sur fond de politique malsaine et d'environnement hostile.
D'emblée, le ton et le tempo sont donnés. C'est mené tambour battant, on s'accroche, on veut savoir. Olivier Norek joue les orfèvres. Mieux les horlogers de l'écriture. Aucun chapitre inutile, l'action s'enchaîne, c'est précis comme une série, millimétré. Très très bien mené. On ne s'ennuie pas une seconde.
Puis apparaissent les protagonistes, les petits caids, les victimes qui sont là au mauvais endroit, au mauvais moment.
Une scène très hard m'a ébranlé, on se serait cru dans un livre de Karine Giebel, mais ce n'est pas une scène gratuite, elle sera à mettre en parallèle de l'émotion médiatique. Car Olivier Norek a vraiment superbement construit son roman, mettant en scène des personnages réalistes. Je pense à Bibz le caïd de douze ans. Mais douze ans dans un monde violent, ce n'est pas douze ans.
Au milieu de cette société déliquescente, Coste et son équipe font ce qu'ils peuvent, ils sont les flics, un vestige d'état dans des territoires à l'abandon. Car Malceny n'est qu'un reflet de ces quartiers où clientélismes, économies du crime empêchent l'espoir de revenir.
Dans Code 93, Norek avait déjà sonné la charge contre ces élus corrompus au contact du pouvoir. Il nous offre ici le personnage de Vesperini, une mairesse élue avec si peu de voix qu'elle est obligé de pactiser avec le diable pour se maintenir en place. achats de voix, subventions détournées... "Avec 22 % des suffrages, je ne représente rien" dit-elle à un moment donné.
C'est sombre, c'est glauque, c'est violent, on dirait du Michel Vigneron.
Mais pourtant au milieu de cette noirceur, de cette société pourrie par la drogue, l'abandon, un état distant qui arrose lors d'émeutes pour obtenir la paix (pour combien de temps encore ? et à quel prix démocratique ?), il y a Coste, ses flics et un peu d'espoir...
L'enquête nous immerge dans des quartiers, depuis les associations soumises aux volontés municipales, aux intérieurs d'appartement, d'immeubles, dans les rues, dans des bagnoles de flics et on cherche longtemps qui entend régenter les territoires...
Jusqu'à ce final tonitruant.
TERRITOIRES EST UN SECOND ROMAN FORMIDABLEMENT CONSTRUIT / SANS TEMPS MORT / EFFICACE ET QUI INTERROGE : il démontre que les auteurs s'installent sur le temps avec des gens compétents pour les chapeauter. On comprend donc aisément qu'Olivier Norek sera une voix qui va compter dans les années à venir. Un auteur talentueux. Je vais juste faire mon ch.... pour conclure, gare à ne pas nous resservir ce milieu des politocards et à nous surprendre encore.
Chers lecteurs du blog, le prochain NOREK c'est pour avril 2016 !
derniere chose contrat pleinement réussi, Monsieur Norek. EXCELLENT ROMAN;
ps : il est évident qu'Olivier Norek ne m'a pas arrosé pour obtenir cette chronique, qu'il n'a pas menacé mon chat...
ça se passait ici
J'avais rencontré l'auteur ensuite à Templemars et nous avions discuté. Il avait apprécié me semble-t-il ma justesse (en tout cas, il n'a pas essayé de me dézinguer), car c'est ce qui préside à ce blog. Dire mon ressenti de lecteur.
Aujourd'hui me voici devant vous pour parler de Territoires.
Territoires, c'est l'histoire de Malceny,une cité du 9/3, misère, chômage, précarité et violences liées à un trafic de drogue qui évite à la société de voler en éclats. Parler d'économie souterraine voudrait dire qu'elle est ignorée, mais dans les faits ce trafic, c'est ce qui fait vivre certaines familles (en plus des aides d'état). C'est ce qui évite aux désoeuvrés de foncer dans Paris et d'y opérer des razzias.
3 trafiquants locaux ont été trucidés, pour quel motif ? Qui va les remplacer ? Autant de questions auxquelles vont se retrouver confronter Victor Coste et son équipe sur fond de politique malsaine et d'environnement hostile.
D'emblée, le ton et le tempo sont donnés. C'est mené tambour battant, on s'accroche, on veut savoir. Olivier Norek joue les orfèvres. Mieux les horlogers de l'écriture. Aucun chapitre inutile, l'action s'enchaîne, c'est précis comme une série, millimétré. Très très bien mené. On ne s'ennuie pas une seconde.
Puis apparaissent les protagonistes, les petits caids, les victimes qui sont là au mauvais endroit, au mauvais moment.
Une scène très hard m'a ébranlé, on se serait cru dans un livre de Karine Giebel, mais ce n'est pas une scène gratuite, elle sera à mettre en parallèle de l'émotion médiatique. Car Olivier Norek a vraiment superbement construit son roman, mettant en scène des personnages réalistes. Je pense à Bibz le caïd de douze ans. Mais douze ans dans un monde violent, ce n'est pas douze ans.
Au milieu de cette société déliquescente, Coste et son équipe font ce qu'ils peuvent, ils sont les flics, un vestige d'état dans des territoires à l'abandon. Car Malceny n'est qu'un reflet de ces quartiers où clientélismes, économies du crime empêchent l'espoir de revenir.
Dans Code 93, Norek avait déjà sonné la charge contre ces élus corrompus au contact du pouvoir. Il nous offre ici le personnage de Vesperini, une mairesse élue avec si peu de voix qu'elle est obligé de pactiser avec le diable pour se maintenir en place. achats de voix, subventions détournées... "Avec 22 % des suffrages, je ne représente rien" dit-elle à un moment donné.
C'est sombre, c'est glauque, c'est violent, on dirait du Michel Vigneron.
Mais pourtant au milieu de cette noirceur, de cette société pourrie par la drogue, l'abandon, un état distant qui arrose lors d'émeutes pour obtenir la paix (pour combien de temps encore ? et à quel prix démocratique ?), il y a Coste, ses flics et un peu d'espoir...
L'enquête nous immerge dans des quartiers, depuis les associations soumises aux volontés municipales, aux intérieurs d'appartement, d'immeubles, dans les rues, dans des bagnoles de flics et on cherche longtemps qui entend régenter les territoires...
Jusqu'à ce final tonitruant.
TERRITOIRES EST UN SECOND ROMAN FORMIDABLEMENT CONSTRUIT / SANS TEMPS MORT / EFFICACE ET QUI INTERROGE : il démontre que les auteurs s'installent sur le temps avec des gens compétents pour les chapeauter. On comprend donc aisément qu'Olivier Norek sera une voix qui va compter dans les années à venir. Un auteur talentueux. Je vais juste faire mon ch.... pour conclure, gare à ne pas nous resservir ce milieu des politocards et à nous surprendre encore.
Chers lecteurs du blog, le prochain NOREK c'est pour avril 2016 !
derniere chose contrat pleinement réussi, Monsieur Norek. EXCELLENT ROMAN;
ps : il est évident qu'Olivier Norek ne m'a pas arrosé pour obtenir cette chronique, qu'il n'a pas menacé mon chat...
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Sunday, January 03, 2016
LA CHRONIQUE DE STAR WARS !!!!
ça y est, je l'ai vu.
Qui ???
Ben le dernier Star Wars voyons...
VLA MËME LE LOGO
Et ??? Ton verdict ???
Avant toute chose, faisons un résumé.
Après avoir éliminé l'empire, la République et la résistance n'ont pas mis un terme à l'ère des régimes dictatoriaux. Né sur les cendres de l'empire, voici le premier ordre qui entend imposer sa rigueur martiale sur la galaxie. LUKE SKYWALKER s'est tiré et on le cherche...
Heureusement un excellent pilote affublé d'un beau droïde BB8 qui fait bip bip et tout... a trouvé un morceau de carte stellaire pour retrouver le fameux jedi disparu... Sauf que l'arrivée d'un gros méchant qui ressemble à Darth Vador va provoquer la fuite du droïde sur une planète sableuse...
Bref pour retrouver Luke va d'abord falloir sauver le robot.
Quand vous lisez ce résumé, vous le comprenez d'emblée, il y a du déjà vu dans ce star wars... le droïde, la planète de sable, le méchant, une partie du scénar... Après de nombreuses péripéties, on découvrira un succédané d'étoiles de la mort, une fille qui va se révéler une adepte de la force...
C'est du bon spectacle, bien tourné, de bons costume, il y a de la bataille spatiale (Ok, on se croirait toujours en 39/45 avec les mêmes duels aériens alors que de nos jours et sur terre on dézingue un site avec un pointage laser), de l'action, le plaisir de retrouver les anciens personnages. Le film passe vite, mais il manque des trucs.
Déjà d'où vient le premier ordre ? Un minimum d'explication aurait été bienvenu.
Le méchant est un brin pathétique tiraillé entre son passé et sOn devenir.
Puis il y a cet effet de déjà vu récurrent, et sur les prochains opus il faudra vraiment que les scénaristes se démarquent...
En résumé, c'est du grand show, mais...
Qui ???
Ben le dernier Star Wars voyons...
VLA MËME LE LOGO
Et ??? Ton verdict ???
Avant toute chose, faisons un résumé.
Après avoir éliminé l'empire, la République et la résistance n'ont pas mis un terme à l'ère des régimes dictatoriaux. Né sur les cendres de l'empire, voici le premier ordre qui entend imposer sa rigueur martiale sur la galaxie. LUKE SKYWALKER s'est tiré et on le cherche...
Heureusement un excellent pilote affublé d'un beau droïde BB8 qui fait bip bip et tout... a trouvé un morceau de carte stellaire pour retrouver le fameux jedi disparu... Sauf que l'arrivée d'un gros méchant qui ressemble à Darth Vador va provoquer la fuite du droïde sur une planète sableuse...
Bref pour retrouver Luke va d'abord falloir sauver le robot.
Quand vous lisez ce résumé, vous le comprenez d'emblée, il y a du déjà vu dans ce star wars... le droïde, la planète de sable, le méchant, une partie du scénar... Après de nombreuses péripéties, on découvrira un succédané d'étoiles de la mort, une fille qui va se révéler une adepte de la force...
C'est du bon spectacle, bien tourné, de bons costume, il y a de la bataille spatiale (Ok, on se croirait toujours en 39/45 avec les mêmes duels aériens alors que de nos jours et sur terre on dézingue un site avec un pointage laser), de l'action, le plaisir de retrouver les anciens personnages. Le film passe vite, mais il manque des trucs.
Déjà d'où vient le premier ordre ? Un minimum d'explication aurait été bienvenu.
Le méchant est un brin pathétique tiraillé entre son passé et sOn devenir.
Puis il y a cet effet de déjà vu récurrent, et sur les prochains opus il faudra vraiment que les scénaristes se démarquent...
En résumé, c'est du grand show, mais...
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mots à la con,
ne te gratte pas la fesse droite avec la main gauche,
premier ordre,
sable,
star wars
Friday, January 01, 2016
2016
Cette année, un seul voeu pour toutes et tous après des événements douloureux.
LA SANTE
Pour être en bonne santé, il faut des chercheurs qui cherchent et trouvent, il faut des personnels compétents qui vous accompagnent, qui accompagnent les malades.
Si vous voulez faire quelque chose d'utile pour commencer cette année, c'est de faire un don au centre Oscar Lambret qui lutte contre ce fléau qu'est le cancer.
Chapeauté par le préfet du Nord, Oscar Lambret est un centre au personnel professionnel, dévoué et humain.
Croyez moi je l'ai vécu.
Mais le cancer est une saloperie qui doit être combattue.
ENVIE DE LE TERRASSER ? VOICI LE LIEN
LA SANTE
Pour être en bonne santé, il faut des chercheurs qui cherchent et trouvent, il faut des personnels compétents qui vous accompagnent, qui accompagnent les malades.
Si vous voulez faire quelque chose d'utile pour commencer cette année, c'est de faire un don au centre Oscar Lambret qui lutte contre ce fléau qu'est le cancer.
Chapeauté par le préfet du Nord, Oscar Lambret est un centre au personnel professionnel, dévoué et humain.
Croyez moi je l'ai vécu.
Mais le cancer est une saloperie qui doit être combattue.
ENVIE DE LE TERRASSER ? VOICI LE LIEN
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